Mouvement Anti – Ahmadiyya

3 Décembre 2001

 

 

 

 

AL FATWA International N° 26

 

LE MARCHAND DE QADIAN.

 

Par Dr Syed Rashid Ali

(Traduit de l’Anglais en Français)

 

 

Toutes les louanges à Allah l’Unique. Que son Amour et sa Paix soient  sur le Saint Prophéte Muhammad (SAAW).

 

Chers lecteurs,

Assalam Alaikum Warahmatullah Wabarakatuhu.

 

L’histoire témoigne que les Prophètes ont été envoyés pour libérer les êtres humains de l’esclavagisme de leurs désirs charnels afin de les rendre de vrais serviteurs d’Allah et de leur garantir la paix en ce monde et en Au- delà.

 

Les Prophètes n’oeuvraient jamais pour accumuler et jouir des plaisirs et du confort de ce monde, ni pour eux-mêmes, ni pour leurs disciples.

La veille de la mort du Prophéte (SAW), il n’y a avait même pas de pétrole dans la lampe pour éclairer sa maison. Contrairement à ces âmes pieuses, il y a des imposteurs qui trompent les gens au nom de la religion dans l’unique but d’accumuler les richesses et ainsi remplir leurs coffres.

Ils ne vendent pas sulement leur foi pour des intérêts mesquins de la vie terrestre, mais pis encore, ils sont responsables de la destruction de la foi de plusieurs personnes qui malheureusement sont piégées par leur fraude religieuse.

 

Dans ce nouvel article d’Al Fatwa, nous vous révelons certains aspects de la vie d’un imposteur qui répond au nom de Mirza Ghulam Ahmad Qadiani, fondateur du Mouvement Ahmadiyya, sur sa  convoitise d’argent et montrons à quel degré, il s’était vendu lui-même pour atteindre son but.

 

Nous espérons et prions que ses adeptes verront comment ils ont été roulés pendant des années. Puisse Allah leur donner la sagesse de suivre le droit chemin !

 

Amin.

 

Chers lecteurs,

 

Comme Musulmans, nous croyons fermément que la révélation (Wahy) s’est arrêtée avec notre Bien- Aimé Saint Prophète Muhammad (SAW). Cependant, supposer que la révélation continue (comme tous les imposteurs le prétendent) et qu’en une nuit, du coup, Allah vous parle.

 

Pouvez-vous imaginer ce qui peut pousser à une telle prétention ? La présence accablante  d’Allah s’adressant à quelqu’un ne peut être considérée comme insignifiante pour tout être humain…. Quel impact profond cela pourrait-il avoir ?

Lorsqu’Allah s’est adressé à Hazrat Moïse (AS) sur le Mont Sinaï, il voulait le voir. Lors du Miraj du Prophète Muhammad (SAAW), il avait demandé pour le salut de ses compagnons et des musulmans.

Mais lorsqu’un imposteur prétend qu’Allah s’est adressé à lui, quels sont ses soucis ? Naturellement ses soucis se retrouveraient dans ses prétentions fraduleuses. Preuve ? Lisez ses écrits, vous en jugerez (vous –mêmes)

 

 

La Première révélation (ainsi appelée).

 

« Lorsque, j’ai reçu la révélation prédisant la mort de mon père, la faiblesse humaine m’a  poussé à penser que certaines sources de revenus de ma famille allaient  tarir avec cette mort. Nous allions entrer dans des disputes ».

(Mirza Ghulam cité dans « The Founder of the Ahmadiyya Movement », par Muhammad Ali p 7 voir aussi Roohani Khazain vol 13 p 194

 

Chers lecteurs !

 

Elle est supposée être la première révélation de Dieu à Mirza , et ce qui le tracasse ? L’Argent ! Dieu lui informe de la mort prochaine de son père et son souci : Manque d’argent !

 

Soucis après ce décret

 

D’après Mirza Ghulam, il ne savait pas encore ce qu’était sa mission sur terre, c’est quelques temps après qu’Allah l’a rendu (Puisse Allah pardonner)

- la deuxième venue de Jésus (A.S).

Comment Mirza Ghulam a-t-il expérimenté ce grand retournement (changement) dans sa vie.

 

« C’était nécessaire d’après la promesse que quelqu’une dans la communauté qui s’appellerait Marie et qui serait promue et Jésus devrait naître d’elle et il serait connu comme Ibn Maryam (fils de Marie) qui est moi. La Révélation « huzee ilaike » a été faite à Marie aussi bien qu’à moi à la seule différence que Marie a souffert de l’épuisement physique et moi du manque de moyens financiers ».(Nazool – ul – Masih p. 163)

 

Encore une fois, Mirza croit à ses penchants cachés ! Dieu a promu Mirza Ghulam au rang de Jésus (A.S), fils de Marie et ce qu’il pense : l’Argent ! Subhan’Allah .

Quel contraste entre un vrai prophète et un faux prétendant !

 

 

 

 

 

 

Raisons de l’ordination divine

 

            Pourquoi Dieu a-t-il choisi Mirza pour cette tâche ? Mirza donne les raisons dans les révélations qui suivent :

 

« Le Messie Promis a eu une révélation (en arabe) : Faites ce commerce profitable pour moi ».(Registre de Rivayat Sahaba, vol XI p 106 et vol XIV, p. 14).

 

« Le Messie promis a eu une révélation (en persan) : Je vous ai confié mon capital, vous savez tout sur le gain et la perte » (Mansabi Khilafat p 40)

 

Le Déclin de la famille

 

Aujourd’hui si on étudie la vie de Mirza, les choses deviennent claires. Mirza recevait les soi-disant révélations en fonction de ses désirs cachés et ainsi il croyait d’une manière expectative. Il était toujours attentif au déclin de sa famille et à la chute de l’empire financier de ses ancêtres. Dans sa biographie il écrit :

« Au cours de périodes de Sikhs, mon arrière grand-père, Mirza Ghul Mohammed  était bien connu et un notable célèbre dans cette partie…durant la vie de mon grand père….. une grande catastrophe s’est abattue sur nos ancêtres… ainsi au cours de derniers jours du règne de Ranjit Singh, mon feu père,  Mirza Ghulam Murtaza, est rentré à Qadian, et obtint 5 villages sur l’héritage  de son père…. restant une ancienne famille, mon père Mirza Ghulam Murtaza, était aussi un notable célébre dans  la région (Kitab ul Bariyah, Roohani Khazain vol 13p 175- 176).

 

« En bref, les conditions de nos terres declinèrent jour après jour, jusqu’à ce que nous atteignions le stade où ma famille devint un propriétaire terrien d’un bas niveau » (Tohfa-e-Qaiseriya, Roohani Khazain vol 12.p. 271).

 

« Lorsque les Britanniques arrivèrent, ils confisquèrent nos domaines familiaux et fixèrent un impôt annuel à 700 Rs qui était réduit à 180 Rs  à la mort de mon grand-père et à la mort de mon oncle, il était arrêté et aboli totalement (Seerat-ul- Mahdi 1re Partie, citation N° 48 par Mirza Basheer Ahmad fils de Mirza Ghulam Qadiani).

 

Les lecteurs peuvent maintenant comprendre combien Mirza Ghulam était obsédé par le déclin de l’empire financier de sa famille. Ce qui l’a conduit à la  déprivation qui engendra une convoitise du pouvoir et de l’argent qui l’ habita à jamais jusqu’à sa mort.

Autant, il pensait que Dieu lui parlait, il imaginait ce qu’étaient ses problèmes financiers.

 

Mirza, le fils prodige. 

 

« Ma Mère (épouse de Mirza) m’ a dit (fils de Mirza) qu’une fois durant sa jeunesse Hazrat Maseeh Mowood (Mirza Qadiani) est parti collecter la pension de votre grand-père et Mirza  Imamdin – partit aussi. Lorsque (Mirza) collecta la pension,  il (Imamdin) le séduit (Mirza) et au lieu de rentrer à Qadian, il le conduisit ailleurs. Lorsqu’il (Mirza) finit par gaspiller toute la somme, il (Imamdin) le quitta et s’en alla » (Seeratut Mahdi 1re partie, citation n° 49 par  Mirza Basheer Ahmad fils de Mirza Qadiani).

 

Mirza Imamdin était le cousin de Mirza Qadiani, et au moment où cet incident eut lieu, Mirza était âgé de  plus de 30 ans . La pension de 700Rs équivaut aujourd’hui à des centaines des milliers de roupies. Où est-ce-que Mirza et son cousin ont-ils dépensé cette somme colossale en si peu de temps ? Et qu’aucun ne peut deviner ? Mais cette épisode, donne certainement  une lumière sur la mentalité de cet homme qui peu de temps proclamait qu’il était divinement ordonné de servir l’Islam. Servir l’Islam ? Certainement,  il a servi ses poches et pour un  prétexte ou pour un autre , il commença à extorquer  l’argent des masses d’ignorants.

 

Mirza essaie d’avoir quelques bénédictions divines.

 

Au cours des premiers  jours, Mirza Saheb partit pour Amsatsir, et rencontra un saint, Molvi Abdullah Ghaznawi. Mirza  lui demanda : Je suis employé à la cour de Sialkot avec un maigre salaire. Ainsi, il m’est difficile de survivre avec un tel salaire, j’ai préparé un examen en droit mais j’ai échoué. Molvi Sahed lui interrogea. Quelle est votre intention maintenant ? Mirza Saheb répondit. Maintenant,  je n’ai pas l’intention de travailler, je veux  juste survivre du Tawakkul (confiance en Dieu, que Dieu satisfera ses besoins) Je vous demande de prier pour moi pour Rujoo’at et Futoohaat (Rujoo’at veut dire qu’une personne souhaite que les gens soient attirés vers lui et futoohaat  signifie que ces gens attirés vers lui apportent des choses matérielles) S’il vous plaît, faites une prière pour moi ».(Messie du 14e  Siécle p. 48) .

 

Révélation concernant le mariage et les soucis financiers                                                                                                                                                                                           

 

« Le 27e signe (de la prophétie) est celui de mon mariage qui  eut lieu à Delhi. Dieu m’ a envoyé cette révélation. Louanges à Dieu qui vous a honoré à travers la lignée aussi bien qu’à travers la vie  conjugale. C’est Dieu qui a fait votre lignage aussi  noble et votre  épouse viendra aussi d’une noble famille.  Cette révélation était une prophétie, parce que de ce souci , j’ai su comment arranger les dépenses de ce mariage » (Roohani Khazain vol 22p.247).

Subhan Allah ! Allah donne une promesse heureuse pour un mariage et il se soucie des dépenses.

 

Appel  de dons pour publier Braheen Ahmadiyya.

 

La solution la plus rapide et la plus simple que Mirza pouvait envisager pour surmonter ses problèmes financiers était d’exploiter et de tirer des avantages de l’ignorance des gens, leur nature simpliste et superstitieuse et de leur attachement aveugle à la religion.

Ainsi dès les premiers jours, il pava la voie en propageant ses idées fanatiques  et en publiant les livres sur  l’Islam.

La première chose qu’il avait faite, était d’annoncer son intention d’écrire un livre en 10 volumes pour prouver la  véracité de l’Islam, et il demanda les dons au même moment.

Cela s’était produit dans  l’histoire de l’Inde, lorsque les muslmans traversaient une période très difficile. Les Britanniques venaient d’usurper  le pouvoir aux musulmans qui venaient de diriger le Sous-Continent Indien pour une période de 100 ans . Les missionnaires chrétiens et hindous étaient activement engagés dans le prosélytisme en essayant de discréditer l’Islam, en ramenant le Ray britannique. C’était sous ces circontances que Mirza annonçait son projet de 50 volumes. Le peuple ignorait les véritables motifs et les positions hérétiques de Mirza.

Il écrit :

« Publier un grand livre comme celui-là est très difficile sans l’aide des frères musulmans. Et la récompense d’aider un tel projet si important n’est pas caché pour n’importe quel  musulman moyen. Donc, il est demandé aux frères croyants de  contribuer dans ce noble travail et d’aider pour sa publication. Si les gens riches donnent juste l’équivalent d’ une dépense d’une seule journée de leur cuisine, ce livre sera imprimé facilement autrement cette lune brillante restera cachée. Ou toutes les personnes qui ont l’intention d’acheter le livre, peuvent m’envoyer 5 Rs avec leurs demandes. Lorsque le livre sera imprimé, il leur sera envoyé  par la voie postale : (Majmoo –e- Istihaarat, collection d’Annonces, vol 1 pp11-12).

 

Les musulmans participèrent à ce projet de tout cœur. Beaucoup envoyèrent le paiement en avance. Mais Mirza était muet  durant 4 ans ( de 1880 à 1884).  Il continuait à écrire, à publier et à poster les  4 volumes. Il réalisa que pour les 50 ans prochains, il pourrait continuer à écrire volumes après volumes de Braheen Ahmadiyya et à les distribuer gratuitement sans espoir de recevoir des compensations financières en retour parce qu’il avait  déjà collecté le paiement (en avance). Il arrêta d’écrire Braheen Ahmadiyya après le 4è vomume. Malgré les protestations d’acheteurs pendant 25 ans. Il publia et vendu 80 autres titres et après  il publia le 5è  volume de Braheen Ahmadiyya. Dans l’impénitence, il écrivit en préface.

 

« Initialement, j’avais pensé 50 volumes mais je me suis  contenté d’écrire  5. Et d’ailleurs, la différence entre 50 et 5 est un simple point (Zéro est écrit comme un point en chiffre arabe (Urdu) donc, avec 5 volumes cette promesse a été tenue » (Préface de Braheen Ahmadiyya Roohani Khazain vol 21p 9)

 

50.000 signes concernant les questions d’argent.                                             

 

Lisez la vie de Mirza Ghulam, lisez ses livres et analysez tout son mouvement, vous réaliserez  combien il était  engagé dans les histoires d’argent !

 

« Souvenez-vous que Dieu a l’habitude avec moi que lorsque je vais gagner de l’argent ou toute autre chose comme  cadeau, il m’informe avant, soit par inspiration soit par rêve, et de tels signes seraient plus de 50.000 » (Haqeeqat-ul- Wahi, Roohani Khazain vol. 22p 346).

 

D’autres exemples de révélations orientées vers l’argent.

 

« Au cours d’un rêve quelqu’un m’a dit : les billets d’argent. Ainsi, il m’ a été donné un livre comme s’il contenait les billets d’argent et la révélation sortit de ma bouche (Urdu). Observez mes frères, les nouvelles ont été publiées (Al-Hakam, vol X n° 6  4 Février 1906 p 1, Tadhkirah 2è édition p 589).

 

« J’ai vu un papier, les premières lignes étaient écrites en persan et le reste était en anglais. J’ai compris que quelqu’un m’avait appelé et m’ a dit : (Urdu) Je vous donnerait 25 roupies. » (Review of Religions, vol. IV. N° 2 Février 1905).

 

« J’ai vu dans un rêve que la femme de Qudratullah me présentait un tas de roupies (Al-Hakam, vol IX, N° 36 17 Octobre 1905 p 10).

 

« J’ai vu dans un rêve au matin que quelqu’un me remettait une mallette en papiers remplie de roupies que j’ai acceptée et que j’ai commencé à enrouler dans un mouchoir blanc ( Agenda  du Messie Promis p.23).

 

« Une fois, j’ai eu une inspiration que j’allais recevoir  21 roupies. Cette inspiration fut  aussi  révélée  aux Aryas ( les hindous vivant à Qadian). Toutefois,  pour les rendre  des témoins, des  bonbons valant 1 Rs leur  furent distribués, si pas autrement, ils se surviendraient de ce  signe après avoir mangé  les bonbons » (Roohani Khazain vol 22 p 318).

 

Les lecteurs noteront combien  toutes ces inspirations concernaient l’argent remis à Mirza et non l’inverse ! Toutefois, il était très difficile d’avoir des témoins sur ses rêves et ses inspirations hélàs. Jusqu’à ce jour, ils n’ont jamais été convaincants quant à  leur statut de divinement révélé.

Modus operandi  pour extorquer de l’argent.

 

Mirza Ghulam A. Qadiani a développé plusieurs stratégies pour extorquer de l’argent aux gens. Les lecteurs ont  déjà lu  (ci-dessus) les détails des  approches apportunistes pour publier «  Braheen Ahmadiyya » et collecter les dons calossaux. Examinez plus d’exemples de tels efforts.

« La Nation doit servir cette Jamaat de toutes les manières possibles. Il ne doit pas y avoir de rupture en la servant financièrement aussi bien. Regardez, aucun mouvement ne  prospère au monde sans de  dons …ainsi, il est important que les membres de notre jamaat gardent cela à l’esprit.

Si les gens donnent même un paisa par an régulièrement, ainsi beaucoup peuvent être faits. Oui, si quelqu’un ne donne pas un paisa ; alors y a-t-il  besoin pour lui de rester dans la Jamaat ?

(Déclaration de Mirza dans Akwor Al Babr Qadian daté du 19 Juillet 1988).

 

Cette déclaration prouve clairement que  la condition pour  devenir et pour rester membre du mouvement Ahmadiyya, il faut payer d’argent :

 

« Cette annonce n’est pas une simple déclaration, plutôt je lance un dernier cri à ces gens qui sont appelés mes mureeds que mon lien est seulement avec ces gens qui sont intéressés à aider et à assister. Mais, il y en a plusieurs qui veulent juste décevoir Dieu. Désormais, conformément à ce nouveau système, tout celui qui renouvelle son serment  doit faire une déclaration écrite du montant mensuel de donation qu’il peut envoyer…. 3 mois après la publication de cette annonce, nous attendrons la réponse de tout celui qui a fait le baith sur la somme qu’il accepte de payer sur base mensuelle et s’il n’y a pas de réponse dans trois mois ainsi son nom  sera rayé de la liste de baith…. Et si quelqu’un après avoir accepté de faire un don et qu’il ne le fasse pas durant trois mois alors son nom serait aussi rayé (collection of Advertisement vol 3 p 468- 469).

 

Condition pour la Supplication – Contribution

 

« Une fois en Janvier 1908, une personne riche du District de Kanpur, répondant au nom de Wali Mohammed, un ancien Ahmadi a écrit à Meseeh Mowood sur la santé de son fils . Il avait écrit à Huzoor qu’il avait prié pour le recouvrement de la  santé de son fils durant une longue période mais ses prières n’ont pas été exhaussées, bien que Dieu ait promis que chacune de nos supplications serait acceptée… Maseeh Mowood… a répondu  que cela n’est pas l’habitude de Dieu d’accepter toutes les supplications… aucun  n’ a le pouvoir devant Dieu. Si cette personne riche est si désespérée qu’il fasse une contribution généreuse en faveur de mon silsile (mouvement)  à  sa capacité maximale, qu’il m’en informe et me garde en souvenir (Al Fazl Qadian du 22 octobre 1922).

 

« Nawab Saheb le gouverneur de Maleer Kotla devint malade, et sa maladie se prolongea. Les agents qadianis vivant dans cette partie informèrent la mère de Nawab que si Mirza Saheb faisait des supplications, immédiatement, il recouvrira sa santé. La lettre fut envoyée à Saheb, qui promit de faire des supplications et en demandant de lui envoyer 500 Rs. Il reçut les 500 Rs de la mère de Nawab Saheb, et continua à prier, mais   aucun d’eux n’en étaient sûrs. Nawab Saheb ne recouvrit pas sa  santé et  mourut finalement (Isha’at us Sunnal vol 18p 146 tiré de Raees-e Qadian p 427 par Rafiq Dilawari).

 

Quel est le but de donner l’aumône ? Propager le nom de Mirza ?

 

L’aumône, la charité sont  faites pour chercher l’agrément d’Allah. C’est ce que l’Islam enseigne. Mais quel but Mirza visait-il dans son esprit  en donnant l’argent ?

 

« Dans les temps de Hazrat Maseeh Mowood, un mendiant arabe est venu.. Il (Mirza) lui donna un montant considérable d’argent. Quelqu’un s’opposa et  il (Mirza)  objecta  ainsi : Partout où il ira,  il mentionnera mon nom, même s’il le fait en recevant quelque chose mais,il parlera de moi dans les lieux lointains ».

(Akhbar Alfazl, Qadian, vol. 22, n° 103, p9 du 26 Février 1935).

 

Teechee Teechee…

 

Il reçoit l’aide d’un « ange » appelé Teechee Teechee.

 

«  Le 5 mars 1905, j’ai vu dans un rêve un homme ressemblant à un ange, venir à moi. Il mit beaucoup d’argent sur mes genoux..

Je lui demandai son nom, il dit qu’il n’a pas de nom. Je lui demandai si après tout il avait quand même un nom. Il dit :  Mon nom est Teechee, Teechee. » Dans la langue punjab, c’est un mot pour désigner  un rendez-vous, c’est-à-dire « Je viens exactement à un temps donné«  Ensuite, je me suis reveillé. Dès lors, par l’intermédiaire de Dieu, ou bien à travers la poste, ou directement  des mains des gens, je gagnais beaucoup d’argent. Personne d’autre ne peut s’imaginer, combien, des milliers de roupies je recevais».

(Haqeeqatul Wahi, Roohani Khazain, vol, 22 pp. 345-346)

 

 

 

Don d’argent et les dépenses y relatives

Tout cet argent qui avait été soutiré sous différents prétextes, avait -il  été dépensé ?

« Maintenant, nous pouvons voir  si le Mahdi Promis avait  l’habitude de donner de l’argent à sa famille et  à ses proches parents  de la même somme de  dons collectés ou de fonds provenant d’autres sources.

Chacun savait que Huzoor (Mirza) retirait de l’argent de la caisse pour donner à ses proches. Ainsi  après  sa mort, c’est obligatoire  pour  Anjuman  ( e- Aahmaddiyya , Qadian)  de  remettre   les dons comme Hazrat Maseeh avait l’habitude de le faire parce que Anjuman ne peut être plus honnête que le Maseeh Mowood » 

            (Izhaar-e- Haqeeqat p. 13, du 28 novembre 1913, publié par Anjuman Ansarullah Qadian).

 

Mirza accusé de fraude fiscale et de gabégies .

 

« Cette année, l’impôt sur le revenu annuel de Mirza Ghulam Ahmad était fixé à 7200 Rs et une taxe de 127,50 Rs était imposée.

Mirza Ghulam Ahmad avait déclaré que ses revenus provenaient de sa propriété, de son  jardin ; les revenus de sa propriété étaient estimés à 300 Rs et pour son jardin, l’estimation annuelle variait entre  200Rs et 300 Rs, ou  entre 400 et 500 Rs au  maximum.

A part cela, il n’avait  aucun autre revenu.

Mirza Ghulam Ahmad avait déclaré aussi qu’il  avait reçu  un montant estimé à 5200 Rs, cette même année de ses disciples… qu’il n’ avait pas dépensé pour ses besoins  personnels .

Il n’ y avait aucun document comptable sur ses revenus et ses dépenses, toute ses opérations étaient faites par cœur. Mirza Ghulam  Ahmad avait dit également que les revenus personnels qui provenaient de sa propriété, de sa terre et de son jardin suffisaient pour ses besoins , et qu’ il n’avait aucun besoin d’utiliser l’argent de ses disciples pour ses dépenses personnelles (Déclaration de Munshi. Tajuddin Saheb, percepteur sous-régionnal d’impôt sur le revenu, Batala, District de Gurdaspur, du 31 Août 1892, consigné casier n° 46/55 de 1892, mentionné dans Roohani Khazain, vol. 13, p. 516).

 

 Mirza avait fait  la déclaration auprès du percepteur d’impôts fiscaux, qu’il n’avait pas besoin de dépenser l’argent de ses disciples pour ses besoins personnels.

 

Relisez encore cette déclaration.

 

« Maintenant nous pouvons voir si le Mahdi Promis avait l’habitude de donner de l’argent à sa famille et  à ses proches parents de la même somme des  dons collectés ou des fonds provenant  d’ autres sources . Chacun savait que Huzoor (Mirza) retirait de l’argent de la caisse pour donner à ses proches.

Ainsi après (sa mort), c’est  obligatoire pour Anjuman ( -e- Ahmadiyya, Qadian) de remettre les dons, comme Hazrat Maseeh Mowood avait l’habitude de le faire, parce que Anjuman ne peut pas être plus  honnête que Maseeh Mowood »

(Izhaar-e-Haqeeqat p.13, daté du 28 Novembre 1913, publié par Anjuman Ansarullah Qadian)

 

 Dons remis par les disciples et la vie dans le foyer de Mirza

 

« Initialement, nous avions l’habitude de dire à nos femmes qu’elles devraient  adopter la façon de vivre des Prophètes et de leurs compagnons,  qu’elles mangent moins, des aliments secs si possible, et  s’habillent des vêtements de moindre coût et le reste, qu’elles épargnent et dépensent dans la voie d’Allah. Parallèlement, nous devons aussi pratiquer. Ainsi, par ces enseignements nous économisions un peu d’argent et à envoyer à Qadian.

Mais quand nos épouses allèrent à Qadian (pour Jalsa Salana) et restèrent là-bas, en observant chaque chose de plus près. Au retour, elles nous attaquèrent comme quoi nous sommes de grands menteurs, qu’elles avaient elles-mêmes des témoignages sur la façon de vivre du prophète (Mirza) et de ses compagnons, après avoir visité Qadian.

Le genre du confort et du  luxe dont les dames jouissent là bas, même 0,1 %, ne se trouve pas ailleurs. Malgré le fait que nous gagnons notre propre argent et quoi que ce soit, l’argent va là bas, il est envoyé là-bas pour le bienfait de la nation, c’est l’argent de la nation. Par conséquent, vous êtes des menteurs, vous nous avez menti depuis longtemps, maintenant nous ne serons plus jamais déçues par vous.

Ainsi, elles ne nous donnaient plus l’argent à envoyer à Qadian… » (Kashf-ul-Ikhtilaf, p. 13 par Sarwar Shah Qadiani).

 

« Une personne de Ludhiana a dit une fois dans la mosquée devant Molvi Mohammed Ali, Khwaja Kamaluddin, Sheikh Rehmat Ali, que la jamaat contracte des dettes, et les gens épargnent à partir des bouches de leurs enfants pour envoyer des dons à la Jamaat, mais là-bas la bijouterie et les vêtements sont achétés pour Biwi Saheba (l’épouse de Mirza Qadiani), mais quoi d’autre arriverait-il ici ? (Serment de Mirza Mahmud second Khalife, Al Fazl Qadian du 31 Août 1938).

 

« La plus grande objection qu’il (Dr Abdul Hakeem) leva contre le Messie Promis concernait les questions financières, que (Mirza) il prend des dons publics et gaspille  comme il veut … Il (Mirza) collecte des dons sous prétexte de publier des livres  et de n’importe quelle manière, la collecte de l’argent était faite en usant de mensonges et ainsi il pouvait dépenser, à droite et à gauche comme il entendait, aucune pièce justificative n’était tenue  ».  (Alfazl Qadian du 20 janvier 1929).

 

Des irrégularités dans les comptes

 

« Molvi (Mohammed Hussein Batalvi) Saheb a dit :  Si vous allez à Qadian, transmettez mon message à Mirza Saheb, qu’il m’envoie un compte sur ses revenus…. Des fonds publics sont dépensés inutilement … Je suis arrivé à  Qadian et j’ai transmis le message de Molvi Saheb. Hazrat Masseh Mowood m’avait dit que  je devais répondre  à  Molvi Saheb que l’argent venait à lui par la grâce de Dieu et que nous le dépensions pour l’amour de Dieu, nous ne gardions aucun compte » .( Un récit Qadian mentioné dans Al Fazl Qadian n° 201, vol. 23 du 22 Août 1946)

 

 L’opinion des disciples sur  Mirza :

 

 Si quelqu’un pense que les disciples de Mirza Ghulam étaient entièrement contents  de sa mauvaise gestion  qu’il lise ce qui suit :

 

« Hazrat Masseh Mowood ….exprima un grand chagrin dans la maison que malgré sa parole qu’ il s’agit de la volonté de Dieu que de son vivant l’adminitration de la chose publique devait être dans ses mains, et si le contraire arrivait, elle serait fermée, mais ces Khawaja (Kamaluddin) etc…  lui demandent souvent de leur céder l’administration de la caisse et ils se méfient de lui ».

(Kashf Ikhtillaf p. 14 par Sarwar Shah Qadiani).

 

Concernant les irrégularités financières, la mauvaise gestion de la chose publique et les dépenses extavagantes de la famille de Mirza Saheb, en une occasion Khawaja Kamaluddin très fâché a dit ce qui suit à Molvi Mohammed Ali :

 

« Combien cela est injuste de savoir que l’argent de la nation est collecté avec une telle grande difficulté et les raisons nationales pour lesquelles ils donnent des dons en se privant  de leurs  besoins, que cet argent ne soit pas dépensé pour ces projets et  à la place ,il est dépensé pour les désirs personnels (de Mirza et de sa famille) ?  Le montant est aussi grand que quelques soient les projets nationaux que nous avons commencés et qu’ on ne peut pas achever par manque de fonds suite aux détournements, si cette chose publique est administrée proprement,  seulement avec le montant économisé, ces projets peuvent être achevés. »(Kashf-ul-Ikhtilaaf p.15 par Sarwar Shah Qadiani)

 

« En une occasion, lorsque une délégation partit pour collecter de dons pour la construction d’une école, Khawaja Saheb a dit à Molvi Mohammed Ali que Hazrat Saheb (Mirza Qadiani) lui-même mène une vie luxueuse mais nous prêche de réduire les dépenses. En réponse, Molvi. Saheb nous a dit que oui cela ne peut pas être nié mais c’est juste humain (lettre de Mian Mahmud à Hakim Nuruddin, Haqeeqat-e-Ikhtilaaf, pg.53 par Molvi Mohammed Ali).

 

La colère de Mirza sur ses « mureeds »

 

« Celui qui me donne et puis me reproche d’être prodigue. Il m’attaque et c’est une attaque intolérable… Je ne considére même pas de telles personnes comme des insectes morts dont les cœurs contiennent des méfiances….je ne suis pas un trafiquant pour garder un bilan.

Je ne suis non plus un trésorier pour me soumettre à un audit  »  (Déclaration de Mirza  Qadiani dans le journal Al Hakm du 31 mars 1905, Mafoozaat vol.7, pg 325).

 

« Il (Mirza Saheb) a dit qu’aujourd’hui Khawaja Saheb a apporté une lettre de Molvi Mohammed Ali et a dit que Molvi Saheb a écrit que les dépenses de la caisse publique ne sont pas exagérées, le reste des millions de roupies collectés, où est-il parti ? Et puis il (Mirza) rentra dans la maison et exprima une grande colère que ces gens  le considéraient – ils comme un HARAM KHOR (DETOURNEUR DE FONDS) ?   Quel lien ont-ils avec l’argent ?

Si aujourd’hui, je quitte tous ces revenus vont s’arrêter ». (Lettre de Mian Mohmus à Molvi Nuruddin, Haqeeqat-e- Ikhatilaaf, page 52 par Molvi Mohammed Ali)

 

Le développement à Qadian et les motivations  pour les « mureeds »

 Mirza faisait souvent des tentatives pour séduire les gens en investissant dans Qadian, en d’autres mots en distribuant de l’argent.

« Nous avons vu dans un rêve que Qadian est devenu une grande cité et le marché était étendu au- delà de l’horizon. Des consrtructions de 2 à 4 étages où il y a des magasins avec même des terrasses plus élevées faites de belles constructions embellissent les marchés et les gens riches aux « gros ventres », assis avec des tas de bijoux, des diamants de perles, de l’argent et des pièces d’or devant eux ».

(Déclatation de Mirza dans le journal Qadian Al Hakm du 3 Avril 1902)

 

Cimetière divin : une autre aventure financière

 

« Puis Dieu m’envoya une révélation et me montra un morceau de terre et me dit que c’est cette terre, au-dessus de laquelle, il y a  le paradis. Ainsi, quiconque y est enterré, entrera  au paradis et il sera parmi ceux qui sont en paix ». (Roohani Khazain, vol ; 22 pg 675)

 

Conditions pour être enterré dans le cimetière divin.

 

En 1906, Mirza Ghulam a  écrit son « testament  » et a précisé les conditions pour être enterré dans le cimetière divin. Il les a énumérées. Laisse-nous jeter un regard sur l’ordre dans lequel il  les a  écrites :

 

1. Première condition

 

« …Ainsi la première condition est que quiconque désire avoir un enterrement là-bas, il  doit contribuer à ce fonds selon ses moyens pour couvrir les dépenses ».

 

2. Deuxième condition

 

« La deuxième condition est que tous les membres de la Communauté Ahmadiyya sont éligibles mais à condition qu’ils laissent un testament comme quoi après leur mort on prendra le dixième de leur héritage à verser  sur ce fonds… »

 

3. Troisième condition

 

La troisième condition est que  celui qui aspire être enterré dans ce cimetière doit mener une  vie  normale, s’éloigner de ce qui est défendu et ne doit pas commettre de Shirk,… » (plusieurs conditions) (Source : Le Testament pg 44, Roohani Khazain, vol. 20p. 316-327).

 

 

Les lecteurs vont noter que la piété vient seulement en  troisième place  pour être enterré dans ce cimetière divin, les deux premières ayant un rapport avec l’argent.

Ceux - là qui peuvent avoir les moyens de payer, vont au paradis.  Très commode vraiment. Pas seulement cela, on devait laisser un montant aussi  important à la jamaat dans son testament pour  avoir une place. D’ailleurs, Mirza accentue que :

 

« Hazrat Maseeh Mowood disait… il (est) celui qui n’a pas fait de testament (laissant un montant à la jamaat, est hypocrite » (Minhaj-ut-Talibeen, collection des discours par Mian Mohmud, second calife, p, 16)

 

Une personne peut être un escroc mais achète une place dans  le cimetière divin, et un pieux pauvre Ahmadi sera incapable de trouver une place dans ce paradis !

 

Toutes ces  citations prouvent que la chose la plus importante dans la vie de Mirza Ghulam A Qadiani  était l’argent ; qui l’incitait à exploiter la faiblesse religieuse des gens. Et c’est l’argent et d’autres considérations mondaines qui ont fait de lui un valet des maîtres anglais.

 

Pour satisfaire ses désirs charnels, il n’avait  pas hésité de vendre sa foi, et la foi de centaines de milliers d’ ignorants qui  ont choisi de le suivre.

 

Il

1.      a introduit des doctrines hérétiques en Islam pour justifier ses prétentions anti- islamiques.

2.      a  divisé les musulmans, en isolant la Ummah, de la Ummat-e-Muhammadiyya.

3.   a prêché l’esclavage aux  Kuffar et fit ceux-là qui acceptent de le suivre des  esclaves et des subordonnés de kuffar.

 

Mirza Qadiani et le Gouvernement britannique.

 

Mirza Ghulam manifeste l’orgueil dans beaucoup de dépliants et articles qu’il produisit sur l’abrogation du Jihad. Sa motivation pour de tels écrits ?

 

« Les honorables officiels du Gouvernement ont toujours fourni des témoignages pour exprimer leur ferme opinion dans leurs lettres que cette famille est depuis longtemps une amie sincère et subordonnée.

Le Gouvernement doit prendre un grand soin de cette même semence qui s’est implantée….doit instruire ses officiers de Me traiter  et Ma JAMA’AT avec une bonté spéciale et des faveurs. Notre famille n’a jamais hésité de verser son sang en faveur des dirigeants britanniques et n’a pas stoppé de perdre des vies humaines, elle n’hésite pas même aujourd’hui » (Roohani Khazain vol.13, p 350)

 

 

« Je suis personnellement engagé dans un tel service pour le gouvernement britannique, qui est  une manifestation d’une bonne volonté envers ce grand gouvernement. C’est un grand service comparé à celui de mes ancêtres que je l’ai appris dans des livres en Arabe, en Persan et en Urdu avec cette logique que…. il faut obéir obligatoirement à  ce gouvernement de tout cœur  pour tout Musulman. » (Annonce de Mirza Qadiani, Collection d’Annonces vol.2 p.366)

 

Ainsi, j’ai dépensé de sommes colossales pour publier ces livres et pour les distribuer dans les territoires musulmans.

Je sais que ces livres ont eu un grand effet dans ce pays aussi bien . Et ceux qui se sont alliés à moi dans un engagement de respect , constituent une Jamaat dont les cœurs sont pleins d’un véritable bénévolat envers le Gouvernement. Leur conduite est élevée et je sens qu’ils sont une bénédiction pour ce pays et des sacrificateurs volontaires de leurs vies pour le gouvernement ».

( Annonce, vol. 2, p. 367).

 

 

« A la page 241 de Braheen Ahmadiyya, il y a une prophétie concernant le Gouvernement Britannique. Et c’est celle-ci : « Dieu ne semble  pas qu’il va faire souffrir ce Gouvernement tant que vous vivez sous leur pouvoir. N’importe où est votre visage,  le visage de Dieu est là ». Depuis que Dieu connaît que mon Cœur est heureux dans l’ombre de sa protection et du  gouvernement pacifique et je reste occupé à prier pour cela, parce que je ne peux pas faire mon travail convenablement ni à la Mecque ni à Médine, ni à Rome (Istanbul) , ni en Syrie, ni en Iran, ni à Kabul ».

(Collection d’annonce, vol.2 p.370)

 

Hazrat Maseeh Mowood dit : le Gouvernement britannique est mon épée. Et puis, pourquoi,  nous Ahmadis ne serions pas  contents de cette victoire  sur Baghdad (Iraq). Qu’il soit arabe ou syrien, il veut voir l’éclat de notre épée partout » (Déclaration de Mirza Mahmud dans Alfazl Qadian du 7 Septembre 1918)

 

« Ceci est aussi évident que la lumière du jour qu’en réalité le Gouvernement britannique est un bouclier. Sous toute protection, Jamaat Ahmadiyya  va en avant. Eloignez-vous  de ce bouclier juste un peu et puis vous verrez une pluie dangereuse comme des flèches vénimeuses tomber  sur vos têtes. Alors pourquoi ne serions-nous pas reconnaissants envers ce  Gouvernement ? Nos intérêts sont unis avec ce gouvernement et la destruction de ce gouvernement est notre destruction et son progrès est notre progrès. Partout où le chef de ce gouvernement étend son autorité, est un nouveau terrain pour nos prédications .

 

Ainsi, pas d’objections et aucun ne peut s’opposer à notre fidélité envers ce gouvernement. Même  la personne la plus stupide ne peut être l’ennemi de sa propre vie ».

(AlFazl qadian, vol.3n° 51, du 19 octobre 1915).

 

« Je lui remercie (Dieu) qui m’a donné  une place dans l’ombre d’un tel gouvernement sous toute protection. Je peux librement continuer mon travail de prêcher et de conseiller. Bien que ce soit obligatoire pour chacun de remercier ce gouvernemnt bienveillant mais je pense que c’est plus obligatoire pour moi, parce que mes grands objectifs sont en train de s’accomplir sous la protection du gouvernement de La Reine Victoria. Ce qui ne peut s’accomplir sous aucun un autre gouvernement, même s’il  était islamique ».(Roohani Khazain vol. 12 p. 283)

 

Subhan Allah! Ceci est le moment de peser/ méditer/ faire une réfléxion. Quels sont  ces objectifs qui étaient impossibles pour Mirza Ghulam à accomplir sans la protection du Gouvernement Britannique, et qui ne pourraient l’être sous un autre gouvernement même islamique !

 

« Avant tout, je prie que Dieu le Très Haut   puisse donner assez de « BARKAT » à la vie de  son Altesse la Reine de Hind (Reine Victoria) et augmenter son Honneur, son Rang et sa Grandeur, et qu’ elle reste heureuse  avec ses parents et fils…. Cette modestie d’un tel haut degré de sincérité et amour, et ma soumission passionnée à Huzoor Malika –e- Aaalia (Son Altesse la Reine) et à ses officiers respectueux envers qui je n’ai pas trouvé de mots pour exprimer ma sincérité.

Juste pour ce vrai amour, j’ai écrit un pamphlet à l’occasion de la célébration du Jubilé (du sacre)  et que j’ai intitulé. et l’ai nommé « Tohfa–e-Qaiseriyah » et  que j’ ai envoyé à Janab Mamdoohah (louange à lui) comme un cadeau pour Derwesh… j’ai soulevé mes deux mains dans les prières avec  tous mes proches O Dieu ! s’il vous plaît garde le Chef de cette Mubaraka Reine de Hind toujours au-dessus de nos têtes pour un long moment, puisse son royaume rester toujours. Oh ! Qaiserah –e- Mubarakah !  Puisse Dieu vous protéger, vous accorder une longue vie,  honneur et succès, puisse nos coeurs être satisfaits… c’est un fait dil se dil Koraah les cœurs amants se reconnaissent  !).

Je n’ai pas besoin d’utiliser un langage enflé pour exprimer que j’ai aimé et dans mon cœur spécialement il y a votre amour et respect. Nos prières du jour et de la niut sont continuellement débordantes pour vous comme un cours d’eau… je sais fort que la colère que j’avais dans mon cœur que je pourrais exprimer ma sincérité et soumission et gratitude devant Huzzar. Qaiserah –e- Hind, puisse son Royaume triompher toujours mais je ne pourrais pas exprimer mon enthousiasme de tout coeur(Sitara-e- Qaiserijah, Roohani Khazain, vol. 15, 111).

 

« J’ai rempli les rayons avec des livres que j’ai écrits pour louer les Britanniques, particulièrement sur  l’abrogation du Jihad auquel beaucoup de Musulmans croient. Ceci est un grand service envers le Gouvernement. Pour cela  j’espère une bonne récompense  appropriée  » ( Tabligh –e- Risalat vol7.,p 19)

 

N.B : ceci est une preuve que Mirza écrivait ces doctrines hérétiques anti islamiques et qu’en  retour,  espérait une récompense du   Gouvernement britannique.

Maintenant l’image est absolument claire. La tâche à laquelle Mirza s’était engagé, était d’effacer l’esprit du Jihad et les rendre des esclaves des Kuffar . Il avait l’habitude de prier son Dieu pour la continuité du Gouvernemnt Kafir parce que c’était son bouclier. Mirza Ghulam était le premier soi-disant prophète dans l’histoire des Prophètes, qui prêcha l’esclavage à ses disciples. Laisser à coté les Prophètes d’Allah, il n’y a pas, de dirigeant d’aucune nation qui a  préféré l’esclavage à la liberté de sa nation. Mais helàs pour  les intérêts mondains, Mirza a vendu sa foi et la foi des millions de ceux qui le suivent. Ceci était la raison que quand on faisait le vœu d’allégeance, une des conditions était la loyauté envers les Britanniques.

 

Les conditions d’initiation : j’ai présenté des preuves sur mes 17 ans de prédication…. Lesquels prouvent clairement que je suis un ami sincère des Britanniques avec mon cœur et mon âme… et comme j’ai ordonné avant dans la quatrième condition d’initiation il faut souhaiter du bien à ce Gouvernement anglais et de sympathiser vraiment avec l’humanité… » (Kitab-ul- Bariyah, Roohani Khazain vol 13p.10 )

 

Ces faits peuvent apparaître étonnants pour les générations actuelles des Ahmadi/ Qadiani / Lahori, parce que plusieurs d’entre eux n’ont pas lu les livres de Mirza Ghulam et leurs connaissances  sur la doctrine qadiane se limitent largemment à la propagande littéraire  menée par la jamaat. La plus grande preuve est la forme de « Baith ».

Le formulaire original du baith n’est pas plus long  que l’actuel qui contient la quatrième condition mentionnée en haut. Où est-elle ? Qui l’a éliminée et pourquoi ? Qui a essayé d’abuser ?  les Qadianis doivent mettre ces questions sur leur murrabbis.

 

Extrait de la vie de Mirza

 

En 1907, … vers la fin de sa vie, Mirza jette un regard retrospectif sur toutes les années au  service de sa religion et sur ce qu’il a réalisé :

« Personne ne m’a connu ; ni mes moyens de substance comme je vivais dans le confort et l’aisance.  Tout ce que j’ai gagné provenait de l’héritage de mon père. Puis Allah a mis le  monde à ma disposition, alors que je n’espérais pas obtenir dix roupies par mois. Dieu, cependant , changea ma condition et  a soutenu  ma main. Maintenant, j’ai plus que trois cents mille roupies ».

(Note de compilation : l’équivalent de millions de dollars aujourd’hui) Roohani (Khazain, vol 22 p. 220-221, Haqeeqat ul-Wahi, pp 211-212, 1907).

 

« Il est devenu obligatoire pour nous et pour notre descendance de rester éternellement reconnaissant envers ce Gouvernement britannique béni » (Izala-e- Acham, note au bas de la page).

 

« Mon conseil à ma jamaat est  qu’ils doivent inclure le royaume des Anglais  dans leur « O lil Amr » (chargé d’ autorité) et rester de tout cœur subordonné à lui. (Zuroorat-ul-Imam p. 23):

 

Rapidement pour résumer son travail au cours de sa vie : l’argent…

 

L’importance de l’argent aujourd’hui dans la Jamaat Ahmadiyya.

 

Les successeurs de Mirza continuent avec la pratique qu’ils jugent importante pour la survie de la Jamaat :

« … Le mariage de Amerul Momineen, le Calife Maseeh Alrabia (complilateur : Mirza Tahir) la jeune fille, de Atiyatul-Mujeeb (Tooba), puisse Allah la protéger a pris place dans le rassemblement, la nuit à 1 hoo dans les enceintes de la Mosquée Alfazl… à peu près 600 invités attendaient… Avant cela, après les prières de Juma et ASR, Huzoor annonça le Nikah (un contrat mariage) qui eut lieu avec Mukarram Malik Sultan Mohamed Khan Saheb le fils de Mukarram Malik Sultan Haroon Khan  pour le mahr (la dot) d’un million de roupies ». (Al Fazl International du 19 nov. 1999 au 25 nov. 1999).

 

 Aujourd’hui, les côtisations sont également obligatoires pour  les membres du mouvement Ahmadiyya. Ils doivent contribuer un dixième du tiers de leur revenu mensuel au Mouvement Ahmadiyya.

Au sommet de cela, il y a les sortes de côtisations spéciales pour des buts spéciaux.

Le professeur Munawwer écrit dans son article :

 

Il y a  abondance de dons dans la Jamaat  Ahmadiyya.

Chaque Ahmadi est tenu de payer 6% de ses gains comme CHANDA AAM. C’est un payement forcé, le non payement apparaît comme une dette à payer plus tard sur son compte. Si un Ahmadi refuse de payer CHANDA , il cesse de l’être, bien que CHANDA soit une chose facultative pour laquelle le montant n’est pas fixé, une personne peut donner autant qu’il peut  mais la taxe est fixée et le payement est forcé, le non payement occasionne une dette et elle ne finira jamais.

 

Hormis CHANDA AAM, il y a :

-         CHANDA JALSA SALANA

-         CHANDA TEHREEK JADEED

-         CHANDA WAQF JADEED

-         CHANDA SAD SALA JUBILEE (fini aujourd’hui)

-         CHANDA KHUDDAMUL AHMADIYYA (CHANDA MAJLIS) applicable aux jeunes

-         CHANDA TEMEER HALL (ce hall  a été construit en 1973 mais la collecte continue encore).

-         CHANDA BOSNIA

-         CHANDA AFRICA

-         CHANDA DISH ANTENNA (pour le réseau TV du mouvement)

-         CHANDA LAJNA AMA’ALLAH (applicable aux femmes)

-         CHANDA ANSAAR (applicable aux gens de plus de 40 ans).

 

Brièvement, un Ahmadi doit donner au moins 10% de ses gains chaque mois. Il y a un système volontaire de collecte de CHANDAS dans lequel le collecteur n’a pas de commission.  Invraisemblable ,ce système ne se trouve pas ailleurs.

Deux, trois fois par an différents inspecteurs de différents CHANDAS viennent du centre pour vérifier les comptes et s’assurer que le montant reçu est envoyé au centre (Chanabnagar- Rabwah). A cause de cette organisation financière la jamaat est vue comme étant bien organisée  bien qu’il n’y ait même pas de système, pas de lois, ni de réglements et  de principes. Il y a seulement un système de collecte de dons.  S’il n’y avait pas système de collecte  de CHANDAS  bien organisé, aujourd’hui la famille des PRINCES DE MIRZA SAHEB n’auraient pas eu plusieurs murabla de terre (approximativement un murabla = 25 ares) ni ne mèneraient une vie luxueuse et fastueuse. Ce sont les BARAKAAT de ce système financier.

 

 

 

Mouvement Anti-Ahmadiyyah en Islam

Dr Syed Rashid Ali

P.O.Box 11560

Dibba Al Fujairah

United Arab Emirates

U.A.E