Au Nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

Mouvement anti-Ahmadiyya en Islam
Décembre 2000

Comment Mirza Ghulam a insulté Allah,
le Prophète Muhammad (p.s.s.l.), le Coran et les Musulmans

par Dr. Syed Rashid Ali
édition internet, texte original en anglais traduit en français

 
 
Avant-propos
I. Mirza Ghulam Ahmad et son Dieu
        Dieu parle dans Sa Révélation 
II. Mirza Ghulam Ahmad et le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)
        1. Mirza déclare être l’esclave intoxiqué de l’amour du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)
        2. Mirza Ghulam déclare être l’incarnation du Prophète Muhammad (p.s.s.l) 
        3. Mirza l’égal du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)
        4. Mirza plagie les versets du Saint Coran
        5. Les révélations de Mirza Ghulam
        6. Mirza meilleur que le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l.)
        7. Mirza dégrade davantage le Saint Prophète (p.s.s.l)
        8. Prétention d’être le dernier prophète.
III. Mirza calomnie l’Islam
        1. L’Islam d’avant Mirza est une religion morte
        2. Mirza déclare l’Islam comme une religion dépassée, Satanique et méprisable
IV. Mirza et le Saint Coran
V. Mirza et les Musulmans
VI. Epilogue 


 


Avant-Propos

Toutes les louanges sont à Allah, l’Un et l’Unique.
Que Ses Bénédictions et Son Amour soient éternellement
sur Son Saint Prophète Muhammad après qui il n’y aura pas d’autre Prophète.

Au cours de la seconde moitié du 19e siècle, les Britanniques usurpèrent le pouvoir aux Musulmans dans le sous-continent indo-pakistanais. Ils eurent à faire face aux insurrections répétées et à la résistance au nom du Jihad. Une commission d'enquête royale fut envoyée en Inde par le Parlement britannique pour enquêter et suggérer les voies et moyens de contrer l’esprit du Jihad. Après deux années d’intenses travaux de recherches, elle présenta le rapport sous le titre « L’arrivée de l’Empire britannique en Inde ». Dans ce rapport, les membres de la commission présument que la mentalité de Musulmans est telle que quand ils acceptent quelqu'un comme leur guide religieux, ils le suivent aveuglément. C’est sur cette base qu’ils recommandèrent qu’une personne apte soit cherchée à se prétendre prophète apostolique. Ainsi confusion et désintégration s’en suivront et l’objectif de briser l’esprit du Jihad serait atteint rapidement. Mirza Ghulam Ahmad de Qadian fut choisi pour cette tâche à cause des précédentes relations de ses parents avec l’empire colonial, sa personalité et ses inclinations religieuses. Ils trouvèrent en lui, un candidat apte, et potentiellement capable à la mission sous leur haut patronage bienveillant. Des années plus tard, il a admise dans une lettre au Lt. Gouverneur du Punjab qu’il est le SOI-MÊME IMPLANTÉ & SOI-MÊME CULTIVÉ SEMIS de ses maîtres britannique. Sa lettre est citée dans son livre, Kitab-ul-Bariyah, Roohani Khazain, le 13e volume à la page 350 pour celui qui voudrait bien la lire.

Mirza Ghulam était lancé par les Britanniques comme un serviteur de l’Islam, un réformateur. Très rapidement, il progressa sur plusieurs niveaux ainsi appelés spirituels. Sa personnalité paranoïaque le força à prétendre statut après statut . Partant du serviteur-esclave de l’Islam, réformateur, Muhaddith, Mujaddid, Le Maseel (ressemblant) de Jésus fils de Marie, à Marie elle-même, Jésus fils de Marie (Messie Promis), Imam Mahdi, Prophète, Messager, Adam, Seth, Noah, Abraham, Isaac, Ismaël, Joseph, David, Salomon, Jonas, Krishna, Jai Singh Bahadur, etc. Aucun chose ne l’arrêterait.

Finalement ses illusions de grandeur le poussèrent à se proclamer l’incarnation du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l). Il écrivit : « Celui qui différencie entre moi et Mustafa, ne m’a ni vu ni connu »(Roohani Khazain vol. 16, p. 259). Ainsi celui qui débuta comme serviteur-esclave devint grand maître lui-même.

Mirza Ghulam Ahmad fonda le mouvement Ahmadiyya, il y a cent ans. Son mouvement fleurit sous le patronage britannique bénévolent qui continue à ce jour. Cependant les visées des patrons et des bienfaiteurs se sont étendues jusqu’à inclure tous ceux qui ont peur du résurgence islamique. Tous savent très bien qu’un Musulman converti en Ahmadiyya/Qadiani est un Musulman de moins. Les savants Musulmans de toutes les écoles de pensée et de tous les pays sont unanimes dans leur déclaration : Mirza Ghulam est un apostat, c’est-à-dire un incroyant et est en dehors de l’Islam. Et de ce fait, celui qui le suit, soit un Qadiani, soit un Lahori, par conséquent est également en dehors du pli de l'Islam. Au cours de l’Assemblée annuelle tenue en 1974 à la Mecque de la Ligue Islamique Mondiale (Rabita al-Alam al-Islami), les savants Musulmans de 124 nations islamiques ont déclaré que Mirza Ghulam et ses partisans étaient des incroyants et hors du pli de l'Islam.

Mais les Qadianis/Ahmadiyya continuent à prétendre être des Sunnites et les Seuls Champions de l’Islam. Le Mouvement Ahmadiyya continue à décevoir les ignorants, les pauvres et les Musulmans socialement désavantagé à travers le monde.

La littérature Qadiane / Ahmadiyya parle de l'Islam/Coran/Hadith, en gardant bien la personnalité de Mirza dans l'ombre et en évitant intentionnellement de mentioner ses croyances hérétiques. Une telle fraude pieuse est un dépliant récent sous le titre «Ahmad in Praise of Muhammad» qui a été distribué par le Mouvement Ahmadiyya dans plusieurs pays. Il convient de signaler pour ceux qui ne connaissent pas la culture indo-pakistanaise, que les noms composés comme Ghulam Ahmad, Ghulam Rasul, Ghulam Ali, Abdul Rahman, etc, signifient Ghulam esclave de Ahmad, esclave de l’envoyé de Dieu, esclave de Ali ou serviteur de Dieu respectivement.

Ainsi il est intéressant de constater comment un Ghulam ou esclave de Ahmad ose devenir Ahmad lui-même. Un esclave peut-il être l’égal de son Maître?

Le dépliant (d'Ahmadiyya) contient quelques citations tirées des livres du fondateur du mouvement Ahmadiyya / Qadiani. Mirza Ghulam Ahmad essaie de prouver qu’il était intoxiqué, emporté par l’amour envers le Prophète Muhammad (p.s.s.l), plein d’éloges envers Allah, du Saint Qur’an et de l’Islam. Ces citations nous peignent un caractère merveilleux de Mirza. Mais le public ne sait pas que Mirza Ghulam Ahmad avait au moins deux phases distinctes dans sa vie.

La première période s’étend de son enfance jusqu’au début de l’âge adulte. Au cours de cette période, il était un Musulman sunnite dévoué à l’Islam. Dans plusieurs livres, il déclare qu’il avait la foi en la communauté sunnite. Sa vénération pour le Saint Prophète de l’Islam et son désir ardent de servir l’Islam ont marqué cette phase. Bien qu’il reçût une éducation à la maison, il faut noter qu’il n’a fréquenté aucune école (madrassah) pour son éducation religieuse ou ne s’était affilié à aucun sheikh comme guide spirituel. Plutôt, il s’était débrouillé avec du matériel religieux disponible à cette époque pour forger ses propres opinions et conclusions. S’il y avait une déviation de la doctrine établie de l'Ahle Sunnah wal Jamaat, c'était à peine notable.

Pendant la deuxième période de sa vie, ses pensées et croyances démontrent un changement apparant et au début, Mirza fait des tentatives de faire retour arrière de ses déclarations et ses écrits pour miroiter les Musulmans. Mais avec le temps, il devint de plus en plus provocant et audacieux dans ses vues hérétiques. Cette transformation de la personnalité de Mirza est cachée du public et on ne le retrouve pas dans la littérature Ahmadiyya.

Un autre aspect intéressant dans ses écrits est que Mirza confessait de souffrir de plusieurs maladies affectant son cerveau et ses hautes fonctions mentales. Il parla à ce propos de Melancholia (Manic Depressive psychosis), de l’hypochondrie, de la crise d’inconscience, d’Amnesia, de l’oubli, de l’insomnie, d’attaques hystériques, attaques cardiaques, de diabète (attaques excessives des fonctions urinaires jusqu’à 100 fois par jour). Il se plaignait d'une manière obsédante de l’impuissance et de l’absence de force sexuelle. Il précise dans ses livres les taux de médicaments utilisés pour soulager ses maladies. Il préparait lui-même les potions ou demandait à d’autres de le faire pour lui. Il fait mention notamment de l’emploi du vin tonique et de l’opium pour se soulager. Il a même des rêver dans leqeulles les anges lui dictaient les potions pour retrouver ses énergies sexuelles. A titre d’exemple, Dieu lui aurait instruit dans un rêve de préparer une potion divine pour son incapacité sexuelle dont l’opium était la principale composante.

Etait-il réellement intoxiqué et emporté par l’amour envers le Saint Prophète ? Recevait-il des révélations ou inspirations ? Ou ses écrits étaient-ils le résultat de son esprit malade, de la prise de l’opium ou de l’alcool ?

Dans les pages qui suivent, je présente les citations tirées des écrits de Mirza Ghulam Ahmad et je donne aux lecteurs l’occasion d’apprécier et de juger son caractère. Il sera alors de votre responsabilité de trancher s’il s’agissait de l’ignorance de Mirza ou d’une déception bien orchestrée et couverte par le Mouvement Ahmadiyya.
 
 

Dr. Syed Rashid Ali
Dibba, 9 Août 1997

 


I. Mirza Ghulam Ahmad et son Dieu

Dans sa littérature de propagande, le mouvement Ahmadiyya / Qadiani vante l’amour et les louanges de leur fondateur envers Allah. Les citations suivantes tirées de ses livres montrent que ses révélations (WAHI) et ses inspirations l’avaient orienté dans des directions divergentes. Partant de son amour envers Dieu jusqu’à des obscénités.

«J’ai vu dans un rêve que j’étais moi-même Dieu et je croyait que c’était vrai… la divinité pénétra mes tissus… et dans cet état, j’avais dit que nous voulons un nouveau ciel et une nouvelle terre. Ainsi, j’ai créé cieux et terre» (Roohani Khazain, vol. 13 p. 103).

«En une occasion Hazrat Maseeh Mowood révéla sa condition que l’état d’inspiration lui arrivait ainsi comme si il était une femme et Dieu exprimait sa puissance de Virilité. L'allusion est assez pour ceux qui peuvent comprendre. » (Tract n° 34, Islami Qurbani p. 12 par Qazi Yar Mohamed Qadiani (un proche de Mirza))

(Subhnallah ! Accuser Allah de l'Homosexualité ! Puisse Allah nous protéger de telles imaginations insensées).

Dieu parle à Mirza dans Sa Révélation

«(O Mirza), Les Cieux et la Terre sont avec vous comme ils sont avec Moi… Vous êtes de Moi comme mon Unité et mon Unicité… Vous êtes de Moi comme Mon Trône… Vous êtes de Moi comme Mon fils… Je commets des erreurs et J’accomplis… Je jeûne et je romps le jeûne… Nous vous donnons les heureuses nouvelles de la naissance d’un fils lequel sera la manifestation de 'HAQ' et la Majesté, comme si Dieu a descendu du ciel. Nous vous donnons les heureuses nouvelles de la naissance d’un fils» (Haqeeqat-ul-Wahi, Roohani Khazain, vol. 22 p. 77-79)

 


II. Mirza Ghulam et le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)


La littérature de propagande du mouvement Ahmadiyya / Qadiani est pleine de citations tirées des écrits de Mirza, attestant son amour envers le Prophète Muhammad (p.s.s.l). Paradoxe, les citations qui vont suivre, tirées des mêmes livres, parlent du contraire. Ahurissant est le changement de son statut qui évolue d'étape à étape. Au début it était l'esclave de Ahmad (Muhammad (p.s.s.l). Alors il devenait intoxiqué par l’amour. Ensuite son intoxication annihilait son personalité et il devenait Muhammad (p.s.s.l) lui-même. Les partisans (Qadianis /Ahmadis) connaissent-ils ses écrits ? Si tel est le cas, pourquoi suppriment-ils de pareilles profanations ?


     
  1. Mirza déclare être l’esclave intoxiqué de l’amour du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)


    2. Comme mentionné dans le dépliant «Ahmad in praise of Muhammad», Mirza déclare avoir été intoxiqué de l’amour. Il dit qu’il est le Ghulam (esclave) de Ahmad (p.s.s.l).

    «Ce humble moi n’est ni un Prophète ni un Messager, plutôt seulement l’esclave et le partisan du Prophète vertueux» (Déclaration de Mirza Ghulam Ahmad dans Akbar Al Hakm Qadian N° 23 vol. 5)

    «Après Dieu, je suis ivre de l’amour envers Muhammad, si cela est une infidélité envers Dieu, alors je suis le plus grand infidèle». ( Parole de Mirza citée dans «Ahmad in Praise of Muhammad», p. 1)

    Après ainsi avoir convaincu ses partisans de son amour pour le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l.), il poussa plus loin et alla jusqu’à dire que son amour l’a mis à un niveau si élevé que sa personne devint celle de Muhammad (p.s.s.l).
    Mirza disait :
    «Et Dieu m’accorda la générosité du Saint Prophète. Il la rendit parfaite. Il m'a ouvrit la sagesse et la générosité du gracieux prophète de telle sorte que mon entité devint son entité. Ainsi celui qui adhère à ma communauté réellement devient un du Sahaba du Maître qui était meilleur que tous les autres prophètes. Ce n’est pas caché pour ceux qui sont dotés de l’habilité de comprendre que cela est la signification des mots : «ainsi qu'à d'autres parmi ceux ...». La personne qui différencie entre moi et Muhammad (p.s.s.l) ne m’a ni vu ni connu» (Khutbah-e-Ilhamiah, Roohani Khazain, vol. 16 p. 258-259).
    Il n’était juste que question de temps qu’il déclarât être l’incarnation du Prophète Muhammad (p.s.s.l). Ainsi Ghulam devint le Maître. 
     
     
  2. Mirza Ghulam déclare être l’incarnation du Saint Prophète (p.s.s.l)


    3. Mirza Ghulam dit :

    «Muhammadur-Rasulullah wal-Ladhina maahu ashi dau alal kuffaar ruhamaau bainahum». Dans ce verset Dieu m’a appelé Muhammad aussi bien que Messager» (Roohani Khazain, vol. 18 p. 207)

    «Le Saint Prophète a eu deux naissances ou en d’autres termes on peut dire que de façon Buroozi le revenir du Saint Prophète (p.s.s.l.) était promis ce qui s’est accompli par l'apparance du Messie Promis et Mahdi Promis» (Roohani Khazain, vol.17 p.249)

    Mirza Ghulam disait :
    «J’ai dit à maintes reprises que conformément au verset du Coran : «Wa akharina minhum lamma yalhaqu bihim az buruzi, (et ainsi qu'à d'autres parmi ceux ...), comme Burooz je suis le même Prophète, le Khatamul Anbiyyah, et il y a 20 ans Dieu m’appela Muhammad et Ahmad dans Braheen-e-Ahmadiyya et me déclara Son Existence» (Aik ghalti ka azala, Roohani Khazain vol.18 p.212)

    «Le Saint Prophète (p.s.s.l) a eu deux naissances comme prophète. Nous pouvons dire qu’il était promis que le Saint Prophète (p.s.s.l) naîtrait de nouveau dans le monde (réincarné) et cela s'était accompli avec l'incarnation du Messie Promis et Mahdi Promis.» (Tohfa-e-Golravie, Roohani Khazain vol.17 p.249)

    «Quand je suis le Saint Prophète incarné et lorsque tous les actes accomplis par Muhammad incluant ceux de la prophète sont reflétés dans le miroir de mon ombre, ainsi qui est cet homme qui a réclamé la prophétie dans une existence séparée» (Ek Ghalti ka Izala, Roohani Khazain vol.18 p.212)

    De tels croyances et écrits de Mirza Ghulam Ahmad poussent ses partisans à exprimer hardiment leurs convictions de la manière suivante:
    Mirza Basheer Ahmad fils de Mirza dit :
    «Maseeh Mowood n’est pas une personne séparée du Saint Prophète (p.s.s.l) mais c’est lui-même qui est revenu encore dans ce monde sous une forme Buroozi. Ya-t-il donc aucun doute que Dieu a envoyé le Saint Prophète encore à Qadian» (Kalimat alFazl p. 104-105. Review of religion Qadian mars 1915)

    «Maintenant, c’est claire que si rejeter le Saint Prophète est une incroyance (Kufr), alors rejeter le Messie promis serait aussi une incroyance. Cela s’explique car le Messie promis n’est rien d’autre que le Saint Prophète lui-même. Si le rejet du Messie n’est pas une incroyance, de même celui du Saint Prophète ne l’est pas non plus, Dieu interdit» (Kalimat alFazl p. 146-147. Review of religion Qadian mars-avril 1915)

    «De cette façon, reste-t-il donc aucun doute que Dieu a envoyé Muhammad (p.s.s.l) encore une fois à Qadian pour accomplir sa promesse?» (Kalimat alFasl by Mirza Basheer Ahmad, Review of Religions p.105, No.3, vol.14)


     
  3. Mirza l’égal du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l)


    4. L’autre étape franchie par Mirza était de s'égaliser au Saint Prophète. En effet Mirza disait :

    «quiconque différencie entre moi et Mustafa (p.s.s.I) ne m’a pas vu et ne m’a pas connu» (Roohani Khazain vol 16 p. 171.)
    Le porte-parole officiel qadiani Al Fazl de Qadiani écrit:
    «L’entité du Masih Promis (Mirza) dans le plan d’Allah est l’entité du Saint Prophète (p.s.s.l) en d’autre mots, pour Allah, il n’y a pas de dualité ou de différence entre le Masih Promis (Mirza) et le saint Prophète (p.s.s.l). Plutôt, ils partagent la même éminence, le même rang, le même statut et le même nom. Bien que verbalement, ils sont deux mais en réalité ils sont un et les mêmes»
    (Alfazl,Qadian vol 3 n° 37, daté du 16.09.1915 ainsi cité dans Qadiani Mazhab page 207, 9e édition, Lahore)

    Le Kalima Qadiane

    «Avec l’avènement du Messie Promis, une différence (dans le signification du Kalima) est apparue et cela est qu’avant la venue du Messie Promis dans la signification de «Muhammadur Rasulullah» seulement les prophètes des jours passés étaient inclus mais avec l’avènement du Messie Promis, un Prophète de plus a été ajouté à la signification de Muhammadur Rasuulullah... Ainsi pour se convertir à l’Islam, le Kalima est resté le même. La seule différence est que la venue du Messie Promis a ajouté un prophète de plus. Cela veut dire que nous n’avons pas besoin d’un nouveau Kalima parce que le Messie Promis n'est rien separé du Saint Prophète, comme il le dit lui-même : «saara wujuudi wujuudah (ma personne devint sa personne) et celui qui différencie entre moi et Muhammad (p.s.s.l) ne m’a pas vu ni connu». Ainsi le Messie Promis est Muhammad Rasuulullah lui-même qui est revenu au monde pour propager l’Islam. Donc nous n’avons pas besoin d’un nouveau Kalima. Oui, si quelqu’un d’autre était venu, nous devrions avoir besoin d’un nouveau Kalima. Ainsi réfléchissez, vous tous» (Kalimatul Al fasl p. 158 par Mirza Basheer Ahmad.)

    «Comme conséquence de la naissance du Messie Promis (Qadiani Mirza), un différence surgit (dans la signification du Kalima). Avant la naissance du Messie Promis (le Qadian Mirza) dans le monde comme prophète, les mots Muhammadur Rasuulullah comprenaient dans leurs sens seulement des prophètes qui l’ont précédé ; mais après l’incarnation du Messie Promis, un prophète en plus a été ajouté à la signification de Muhammadur Rasuulullah. Par conséquent à cause de l'incarnation du Messie Promis le Kalima, Dieu interdit, ne devient pas supprimé; il brille plutôt plus brillamment. En bref, le même Kalima est (pertinent) même maintenant pour embrasser Islam, avec la seule différence que l'incarnation du Messie Promis (Mirza Qadiani) a ajouté un prophète de plus à la signification de Muhammadur-Rasuulullah» (Kalimatul Fasl p. 158 par Mirza Basheer Ahmad Qadiani.)

    «d'ailleurs, même si nous acceptons en supposant l’impossible que le nom sacré du gracieux Prophète (p.s.s.l) a été inclus dans le Kalima sacré parce qu’il est le dernier des prophètes, même alors il n'y a aucun mal et nous n'avons pas besoin d'un nouveau Kalima parce que le Messie Promis n'est pas une entité séparée du gacieux Prophète comme il (Mirza) lui-même dit: " mon être est exactement l'être de Muhammadur Rasoolu Llah". Il ajouta : «Celui qui fait distinction entre moi et Mustafa ne m’a pas vu, ni connu». Et pour cette raison Allah le Tout-Puissant promit qu’il incarnerait 'Khatam un Nabin' dans ce monde une fois de plus comme prophète, comme est évident de ce verset : « ainsi qu'à d'autres parmi ceux ...». De cette façon le Messie Promis (Mirza Qadiani) est lui-même Muhammadur- Rassuulu lLah, qui a été incarné au monde encore pour propager l’Islam. Ainsi nous n’avons pas besoin d’un nouveau Kalima. Un autre aurait été nécessaire si un autre personne aurait été incarné au lieu de Muhammadur-Rasuulu lLah. Ainsi contemplez» (Kalimatul Fasl p. 158)


    Qadiani durood shareef

    "Ainsi en accord avec ce verset : «"Certes, Allah est Ses Anges prient sur le Prophète; ò vous qui croyez priez sur lui et adresses [lui] vos salutations» (Qur’an 33:56) et en conformité avec ces Hadiths dans lesquels il y a des instructions d'envoyer Durood sur le Saint Prophète (p.s.s.l), le faire aussi pour le Messie Promis est aussi obligatoire comme pour le Saint Prophète (p.s.s.l)"(Risala Durood Shareef par Mohd Ismaël Qadiani p. 136)

    "Conformément aux traditions islamiques et au Hadith, il est obligatoire de comprendre clairement la famille (du Saint Prophet p.s.s.l.) dans le Durood. De la même façon, bien que plus important, il est nécessaire d'envoyer clairement Durood sur Maseeh Mowood et de ne pas se contenter seulement du Durood général qui atteint Mirza aussi quand on envoie Durood sur le Saint Prophète (p.s.s.l.).
    Ainsi Harzat Maseeh Mowood dit :
    «l ’une des objections des ignorants est (que) quand les partisans de Mirza appellent sur lui les mots ['alaihe assalato wa assalam] , ils disent que c’est Haram (une interdiction). La réponse à cela est que je suis le Messie Promis et faites abstraction de dire Salaat et Salaam, le Saint Prophète lui-même a dit que celui que le trouve transmettez son salaam à lui. Et dans tous le Hadiths et aux centaines d'endroits Salaat-o-salaam est mentionné pour le Messie Promis. Lorsque de tels mots sont dits par le Prophète, dits par ses compagnons, plutôt que Dieu l’a mentionné, comment cela peut-il donc être haram (une interdiction) pour ma communauté de dire ces mots pour moi» ? (Risala Durood Shareef, Arbaeen n°2 Roohani Khazain vol. 17 p. 349)

  4. Mirza plagie les versets du Saint Coran


    5. Il s’était proclamé lui-même ivre, intoxiqué de l’amour du Saint Prophète (p.s.s.l.). D'après lui, il était devenu tellement consommé avec son amour qu'il a commencé à avoir les révélations (les delusions du grandeur!) qui lui informent que tous ces versets révélés dans la gloire du Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l.) maintenant sont révélés en son honneur (de Mirza Ghulam). Si vous lisez Haqeeqatul Wahi dans le 22e volume de Roohani Khazain, vous trouverez qu’à partir des pages 77 jusqu’à 111, Mirza Ghulam a mentionné des examples de révélations/inspirations qu’il a reçues en arabe, urdu, persan, punjabi et parfois en anglais. Ceux qui sont familiers avec le Saint Coran identifieront immédiatement l'ampleur du plagiarization en gros de plusiers versets du Saint Coran. Parmi ceux-là, il y a des versets révélés à glorifier le Prophète Muhammad (p.s.s.l) d’autres qui sont utilisés pour le Prophète Ibrahim (p.s.s.l). Quelques examples seront mentionnés ici.

    Allah glorifie le Saint Prophète (p.s.s.l) et ses compagnons dans le Saint Qur’an en ces versets :

    «Muhammadul-Rasuulullah wal ladhina maahu’ashidaau alal kuf faar ruhamaau bainahum».
    «Muhammad est le Messager d'Allah. Et ceux qui sont avec lui sont ..." (Qur’an 48:29).
    Pour les 14 derniers siècles, les Musulmans n'ont jamais eu aucune autre signification à ce verset célèbre ce verset. Mais le Wahi de Mirza informe:
    «Muhammadul-Rasuulullah wal ladhina maahu’ashidaau alal kuf faar ruhamaau bainahum. Dans cette révélation Dieu m'a appelé Muhammad ainsi bien que Messager» (Roohani Khazain vol. 18 p. 207)
    Dans cet ordre d’idée, la liste qui suit est de quelques versets du Qur’an pour lesquels chaque Musulman sait qu’ils vénèrent et glorifient Seydna Muhammad (p.s.s.l) mais qui étaient prétendument encore révélés pour glorifier Mirza Ghulam. Il déclare :

    Ayant ainsi chapardé le rôle du Saint Prophète (p.s.s.l.), lui et ses partisans ont commencé à s'aider à tous les autres épithètes du muslim et titres. Par example:


     
  5. Wahi (Révélation) de Mirza Ghulam


    6. Vers cette époque Mirza parle publiquement à propos de ses inspirations et révélations. Il déclare ouvertement de ses révélations:

    «La base de mes déclarations n’est pas le hadith mais le Coran et ce Wahi qui vient à moi. Oui en support, nous présentons aussi des hadiths qui sont conformes au Coran et qui ne contredisent pas mon Wahi (révélation). Le reste du hadith, je le rejette comme du papier sale» (Roohani Khazain, vol. 19 p. 140)

    «Dans Braheen-e-Ahmadiyya, Dieu m’a appelé par le nom de Ibrahim…» (Arbain N° 23, Roohani Khazain, vol. 17 p. 420)

    «Mes enseignements contiennent des ordres aussi bien que des interdictions et une rénovation d’importantes injonctions du Shariat. Pour cette raison, Dieu a nommé mes enseignements et le Wahi (la révélation) qui vient à moi comme un 'bateau'. Ainsi regardez, Dieu a déclaré mon 'wahi', mes enseignements et la fidélité à moi, être l’Arche de Noé et la base du salut pour tous les être humains. Que ceux qui ont des yeux voient et ceux qui ont des oreilles entendent» (Arbain vol. 4, notes en bas de la page, Roohani Khazain, vol. 17 p. 435)

    «Je dis en jurant par Dieu que je crois en ses inspirations de la même manière comme je crois en le Coran et autres Livres de Dieu. Et juste comme je considère le Coran sans aucun doute et sûrement le Livre de Dieu, similairement, je crois que cette révélation qui descend à moi, est le mot de Dieu» (Haqeeqatul wahi, Roohani Khazain, vol. 22 p. 220)

    «J’ai la même foi dans ma révélation comme dans le Coran et la Thora (P» (Arbain N° 4, Roohani Khazain, vol. 17 p. 454)

    «Et la parole de Dieu descendit à moi aussi régulièrement que si elle est rassemblée, elle ne sera pas moins de 20 parties» (Haqeeqatul Wahi, Roohani Khazain, vol. 22 p. 407)


     
  6. Mirza meilleur que le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l) (ma’az Allah)


    7. Mirza Ghulam restait insatisfait. Il voulait aller beaucoup plus loin. Etait-ce une évolution spirituelle ou des délusions de grandeur? N'importe qui devine. L’étape suivante fut de proclamer sa supériorité et son excellence sur le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l). Il dit :

    «Mais le fait est que la spiritualité du Saint Prophète (p.s.s.l) (en forme de Mirza Ghulam) en cette fin du 6ème millénaire, qui est de nos jours, est beaucoup plus forte, parfaite et puissante par rapport à ces (premières) années, comme une pleine lune» (Khutba-Ilhamiyah, Roohani Khazain, vol. 16 p. 271)

    «La spiritualité de notre Prophète a été conçue au 5e millénaire avec ses attributs précis et cette période-là, n’était pas l’apogée du développement de sa spiritualité. C’était plutôt la première étape à ce plus haut «sommet de sa perfection». Après, cette spiritualité se manifesta en plein éclat au cours du 6e millénaire (sa renaissance à Qadiani à ce moment) (Mirza dans Khutba-e-Ilhamiyah, Roohani Khazain, vol. 16 p. 266)

    Mirza a confié à ses partisans qu’il lui a été donné 300.000 signes et miracles alors qu’au saint Prophète juste 3.000. Se vantant, il écrivit dans un de ses poèmes:
    «Pour le Saint Prophète, Dieu a montré seulement le signe de l’éclipse lunaire. Mais à moi, il montra le signe de l’éclipse solaire et lunaire ensemble, ainsi ne me vous croyez pas» (Alfaz-e-Ahmadi, Roohani Khazain, vol. 19 p. 183)

    Il proclame que certains sens cachés et secrets du Saint Coran n’ont pas été révélés au Saint Prophète mais lui en a été informé. Ainsi le Saint Prophète n’a pas compris la signification de Ibn Maryam, Dajjal, l’âme de Dajjal, Gog et Magog, Daabatul Ardh. (Izala-e-Auham, Roohani Khazain, vol. 3 p. 473)

    «L’Islam (du Saint Prophète) a commencé comme une nouvelle lune et il était destiné à devenir (au cours de la période de Mirza) comme une pleine lune» (Roohani Khazain, vol. 16 p. 184)

    «Et il est évident que Fath-e-Mubeen (victoire distincte) est arrivée à l’époque de notre Prophète mais une autre Victoire est restée, qui est plus grande et plus évidente et il était destiné que sa période sera celle du Messie promis» ( Roohani Khazain, vol. 16 p. 288)

    Le poème suivant été récité devant Mirza par un de ses partisans. Il est reporté avoir dit : «Jazakallah» et après l'avoir écrit en merveilleuse calligraphie, il l'a affiché dans sa maison.
    «Muhammad est descendu de nouveau parmi nous et il est plus grand dans sa gloire qu’avant. Celui qui veut voir Muhammad en perfection n’a qu’à voir Ghulam Ahmad à Qadian» (Qazi Zahoor, Ahmad Akmal Qadiani, publié dans le Journal Qadiani Paighan-usSulh du 14mars 1916)
    «Le développement mental du Messie Promis (Mirza de Qadiani) était supérieur à celui du Saint Prophète (p.s.s.l) et cela est seulement une partie de la supériorité qu’a le Messie Promis sur le Saint Prophète . Les facultés mentales du Saint Prophète ne pouvaient pas se manifester complètement à cause des insuffisances de la civilisation ; quoique l’habilité existât. Elles se sont aujourd’hui manifestées pleinement d’elles-mêmes à travers le Messie Promis par la vertu de l’avancement de la civilisation» (Review of religions, mai 1929, Qadiani Mazhab p. 266, 9e édition)
     
  7. Mirza dégrade davantage le Saint Prophète (p.s.s.l)

    8.  
     
  8. Prétention d’être le dernier prophète


    9. Ayant atteint ce niveau, il n’était pas surprenant qu’il prétendit être le dernier prophète.

    «J'ai dit maintes et maintes fois que conformément au verset 'Wa aakhariina minhum lamma yalhaquu bihim' - ainsi qu'à d'autres parmi ceux qui ne les ont pas encore rejoints' (Coran 62:3) en forme BUROOZI (traduit par les Qadianis comme image/double/contre-type) Je suis le même prophète, le Khatum-ul-Anbiya (le dernier des prophètes). Et il y a 20 ans, Dieu m’appela Muhammad et Ahmad dans Braheen-e-Ahmadiyya, et déclara que je suis l’incarnation du Saint Prophète (p.s.s.l) Ainsi ma prophètie dans aucun sens s'oppose au statut du Saint Prophète (p.s.s.l.) comme le dernier des prophètes parce que l’ombre est inséparable de l’original. Puisque je suis Muhammad ' d'une voie ombragée ', ainsi de cette façon le sceau du dernier des prophètes ne s’est pas rompue parce que la prophétie de Muhammad est restée avec Muhammad» (Mirza Ghulam dans Ek Ghalti ka Izala, Roohani Khazain vol 18p. 212)

    «Béni soit celui qui m’a connu. De tous les chemins qui mènent vers Dieu, je suis le dernier chemin, et de toutes les lumières, je suis la dernière. Malheureux est celui qui m’abandonne, parce que sans moi tout est obscurité» (kashti-e-Nooh, Roohani Khzain vol 19p. 61)

    «Je suis le seul élu dans cette communauté à avoir le nom de 'Prophète'. Personne d’autre n’a mérité ce nom... et il était promis que cela arrive... Ainsi que comme mentionné dans les hadiths authentiques qu'il y aura seulement une telle personne, cette prophétie s’est accomplie» (Haqeeqatul Wahi, Roohani vol 22 p. 407)

    «La prophétie s’est arrêtée avec notre prophète (p.s.s.l). Par conséquent après lui, il n’y a aucun autre prophète excepté celui qui a été illuminé par sa lumière et qui a été fait Son héritier par Dieu. Cette finalité était donnée à Muhammad (p.s.s.l) depuis le début et alors donné à lui (Mirza) qui était enseigné par son esprit et qui a été fait son ombre. Ainsi béni celui qui enseigna et béni celui qui apprit (Mirza). Ainsi la finalité était destinée pour le 6e millénaire, lequel est le 6e jour dans les jours de Dieu… Ainsi le Messie Promis était né au cours du 6e millénaire» (Zamima Khutba Ilhamiah, Roohani Khazain vol 16 p . 310)

    Mirza Basheer Ahmad, fils de Mirza Ghulam écrit :
    «Ainsi seulement une personne a eu le statut de prophète dans la communauté de Muhammad… excepté pour le Messie Promis, aucun partisan du Saint Prophète ne l’ a suivi à la perfection jusqu’à être appelé l’ombre du Saint Prophète. Par conséquent seul le Messie promis était choisi à être appelé le Prophète» (Kalimat Al fasl, Review of Religions. Qadiani p. 116 n° 3 vol 14)
    Le Magazine officiel Qadiani écrivait :
    «Ces citations prouvent que, excepté le Messie promis, personne d’autre ne peut être un prophète... Après le Saint Prophète (p.s.s.l) seulement un seul Prophète était nécessaire et l’envoi de plusieurs prophètes aurait gêné la sagesse et les schémas de Dieu» (Tasheed-ul-azham, Qadiani n° 8 vol 12 p. 11 août 1917)

 


III. Mirza calomnie l’Islam

     
  1. L’Islam d’avant Mirza est une religion morte
    2. " Probablement au cours de l’année 1906, sur proposition de Khwaja Kamaludin, Moulvi Muhammad Ali est entrée dans un accord avec l’éditeur de Akhabar-e-Watan de sorte que le «Review of religion» (La Revue des religions) ne publierait plus les articles sur la secte Qadiani. Par contre elle publierait seulement les articles sur l’Islam en général et l’éditeur de Watan lancerait un appel pour l'aide du journal. Le Messie Promis désapprouva cette proposition et elle fut aussi fortement opposé par le Jamaat. Hazrat Shahd a dit à cette occasion :
    «Présentez-vous devant le monde l’Islam mort en m’excluant»"

    (Zikr-e-Habib par Mufti Muhammad Sadiq Qadiani page 146, 1èreédition)

    «Nous croyons qu’une religion qui n’a pas de continuité dans la prophétie (comme dans l’Islam) est une religion morte. Nous appelons les religions des Juifs, des Chrétiens et des Hindous morts parce qu’il n’y a pas de prophète parmi eux. Si ceci était le cas de l’Islam aussi, nous ne serons pas plus que les raconteurs d’histoires. Pourquoi nous les considérons supérieures à d’autres religions. Il doit y avoir quelque distinction» (Malfozat-e-Mirza vol 10p. 127)


     
  2. Mirza déclare l’Islam comme une religion dépassée, satanique et méprisable
    3. «Cette religion n’est pas une religion et ce prophète n’est pas un prophète quand en le suivant un homme ne peut pas venir ainsi près de Dieu d'être honoré par la conversation divine. MAUDITE et MEPRISABLE est la religion qui enseigne que le progrès humain dépend seulement de quelques anecdotes relatés (c.a.d. les histoires dans le Saint Coran et le Shariat-e-Muhammadia qui est relaté du Saint prophète (p.s.s.l) - compilateur) et que la révélation s’était arrêtée au lieu de continuer… Une telle religion mérite alors d’être appelée SATANIQUE au lieu de religion divine» (Zamina Braheen-e-Ahmadiyya, 5e partie Roohani Khazain, vol 21p. 306)

    «Comment cela est-il absurde et faux de croire qu’après le Saint Prophète (p.s.s.l) la porte de la révélation divine ait été fermée pour toujours et qu’il n’ait pas d’espoir qu’elle s’ouvre dans le futur jusqu’au jour de la Résurrection - suelement une adoration d’histoires. Une religion sans trace directe de la Toute Puissance d’Allah peut-elle être appelée une religion ? Je dis au nom de Dieu Tout-Puissant que dans cette époque, il n'y a personne qui a a plus marre d'une telle religion que moi. J’appelle une telle religion satanique et non pas Rehmani (divine) et je crois qu’une telle religion conduit vers l'enfer et garde son disciple aveugle jusqu’à la mort» (Braheen-e-Ahmadiyya 5e partie, Roohani Khazain vol 21 p. 354)


 


IV. Mirza et le Saint Coran
«Le Coran est le livre de Dieu et les mots de ma bouche» (Annonce du 15.03.1897, Roohani Khazain vol. 22 p. 87)

Quand on avait défié Mirza Ghulam Ahmad que son écritures contiennent des remarques abusives à propos de ses adversaires, il déclara que le Coran aussi est plein de mots grossiers et il énuméra plusieurs mots dans le Coran comme étant grossiers conformément aux normes actuelles (Roohani Khazain vol 3p. 115-117)

Altérations dans le Saint Coran

Le Mouvement Ahmadiyya a toujours nié les accusations par les Musulmans que leur fondateur a commis l'acte épouvantable de modification dans le Coran Sacré.

Il y a plusieurs manières par lesquelles, l’altération peut se faire

  1. Au niveau du texte
  2. Signification et traduction
  3. Dans l’application des versets
  4. Elimination de certains versets du Coran
D’une part, Mirza Ghulam Ahmad avait été coupable de chacun de ces 4 crimes. D’autre part, il n’avait pas changé le texte en arabe dans le Saint Coran mais quand il citait un texte dans ses nombreux livres, il altérait délibérément quelques versets du texte en arabe.

Les exemples se trouvent sur les pages qui suivent :

L’exemple bien connu de l’altération dans la traduction et la signification du Saint Coran est le verset 114 de la sourate 3 concernant la finalité de la prophétie. Depuis le début de l’Islam, depuis le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l) jusqu’à ce jour, tous les Musulmans l'ont toujours considéré comme une annonce sans équivoque de la finalité de la prophétie, ce qui est supportée par plusieurs Hadiths authentiques. Même Mirza Ghulam Ahmad durant les premières années, avait la même croyance. Mais plus tard ses vues changèrent et il donna la fantastique explication que la prophétie de Muhammad (p.s.s.l) n’est pas le sceau de la finalité mais le sceau d'approbation pour des futurs prophètes, comme si Allah qui avait envoyé 124.000 prophètes avait maintenant délégué la responsabilité au Saint Prophète (p.s.s.l). Pourtant il déclara qu’il est le seul prophète qui suit Muhammad (p.s.s.l), la dernière lumière de toutes les lumières d’Allah. En d’autres mots, tous ces explications ahurissantes dans ses livres pour ce verset n'étaient d'une ruse pour justifier ses prétentions de prophétie. Il ouvre la porte du KHATME NABUWWAT, il y entre et puis la ferme de nouveau. N'est-ce pas un exemple le plus grave de charpardage.

Similairement les lecteurs peuvent constater comment les versets glorifiant le Saint Prophète Muhammad (p.s.s.l) ont été modifiés par Mirza qui les appliqua sur lui-même. L’abrogation du Jihad ( la guerre sainte) par Mirza Ghulam Ahmad est un exemple remarquable de tripotage des lois du Saint Coran. Mirza disait:

«Dès aujourd’hui, la guerre Sainte humaine qui est faite par l’épée, vient d’être abrogé par ordre de Dieu. A partir d'aujourd’hui celui qui sortira son épée contre un incroyant et s’appellera lui-même Ghazi, aura désobéi à ce Messager (p.s.s.l) qui a informé il y a 1300 ans qu’après la venue du Messie Promis, toutes les guerres avec épées se termineront. Ainsi après son arrivée, il n’y aura pas de Jihad avec épée. De notre côté, nous avons brandi le drapeau de la paix, de bienveillance et de bonté» (Collection d'Annonces p. 295 vol 3)

«Dès mon jeune âge jusqu’à maintenant que j’ai 65 ans, je me suis engagé avec ma plume et ma langue dans une importante tâche de tourner les cœurs des Musulmans vers le vrai amour, la bonne volonté et la sympathie pour le gouvernement britannique et d’effacer l’esprit du Jihad des cœurs des stupides (Musulmans)» (Kitab-Bariyah, Roohani Khazain vol 13 p. 350)

«Pour la cause du gouvernement britannique, j’ai publié et distribué 50.000 dépliants (contre le Jihad) dans ce pays (l’Inde) et autres pays islamiques …le résultat est que des centaines de milliers de gens ont rejeté leur idées dégoûtantes du Jihad» (Roohani Khazain vol 15 p. 114)


 


V. Mirza et les Musulmans


Quelqu’un posa la question sur les Musulmans et Mirza donna la réponse suivante. Elle mérite d’être lue et elle est reproduite dans son livre Haqeeqat-ul-wahi.

«Question : Huzoor-e-aali a écrit dans plusieurs livres qu’il n’est pas de tout bien d’appeler KAFIR un Kalima-go (celui qui récite le Kalima) et un Ahle-Qibla. Il est très clair que sauf pour ces croyants qui deviennent kafirs en vous rejetant, personne ne devient kafir en ne pas vous acceptant. Mais vous avez écrit à Abdul Karim Khan que « celui qui a reçu mon message et ne m’a pas accepté, n’est pas un Musulman» . Il y a contradiction entre cette déclaration et les déclarations précédentes. Avant, dans taryaq-ul-Quloob etc, vous avez mentionné que personne ne devient kafir en refusant votre message et maintenant vous écrivez qu’en vous rejetant, on devient kafir.
Réponse : Il est étrange que vous considérez la personne qui rejette ma foi et la personne qui s’appelle kafir comme deux personnes différentes, tandis que devant Allah, c’est la même personne; parce que celui qui ne m’accepte pas est kafir parce qu’il me considère comme «fabricateur»… à part cela, celui qui ne m’accepte pas, ne croit pas en Dieu et Son prophète aussi bien parce qu’il y a Dieu et la prophétie du prophète qui me regardent» (Haqeeqat-ul-wahi, Roohani Khazain vol 22 p. 167)

«Sauf les enfants des prostitués dont le coeur a été scellé par Dieu, tout le monde m'a accepté» (Aina-e-Kamalat-e-islam,Roohani Khazain vol 5 p. 547)

«Dieu m’a révélé que n’importe qui mon message a atteint et qui ne m’a pas accepté, n’est pas Musulman» (Lettre de Mirza au Dr Abdul Hakeem khan Patialvi )

«J’ai une inspiration divine que celui qui ne te suis pas et qui n'entre pas ton Ba'ith et reste ton ennemi, celui a désobéi à Dieu et à Son prophète, il est infernal» (Annonce dans M’ayaar-ul-Akhyar par Mirza Ghulam p.8)

«Ainsi souvenez-vous comme Dieu m’a informé : il est interdit et absolument interdit de prier derrière n’importe quel incroyant et un hésitant, il serait obligatoire que l’Imam soit l’un de vous» (Arbaeen n° 3, Roohani Khazain vol 17 p. 417 (notes en bas de page)
 


EPILOGUE


Chers lecteurs,

J’espère que maintenant vous avez des idées claires sur cet homme qui se réclame être intoxiqué de l’amour du Prophète de l’Islam. C’est juste un stratagème pour attirer les innocents qui ne le suspectent pas et les ignorants Musulmans dans le pli d'Ahmadiyyat.

Les questions que vous devriez vous poser sont les suivantes :

  1. Sont-elles vraies les citations mentionnées dans ce livret ?
  2. Si, oui, alors Mirza Ghulam Ahmad, le fondateur du mouvement Ahmadiyya glorifiait-il réellement le saint Prophète ou le diffamait-il ?
  3. Une telle personne est-elle normale ?
  4. Si, oui, peut-elle être appelée Musulmane ?
  5. Pourquoi le mouvement Ahmadiyya cache-t-il la vraie face du fondateur ?
  6. Pourquoi le mouvement Ahmadiyya est-il anxieux de présenter Mirza Ghulam comme un vrai apôtre dévoué à la cause du Saint Prophète (p.s.s.l) ?
  7. Quel genre de personne était-il ?


Vous pouvez faire n’importe quel jugement mais lui-même se déclare dans le poème suivant :

«Je suis un ver de terre, mon cher ! pas un être humain. Je suis la partie obscène des hommes et la place scandaleux des humains»
(note: la signification des mots utilisés en urdu, est la parties sexuelles des hommes) (Tiré de Braheen-e-Ahmadiyya v, Roohani Khazain vol, 21p. 127)
Puisse Allah montrer la lumière de l’Islam à tous ceux qui ont été mal guidés par la propagande frauduleuse au nom de l’Islam. Puisse Allah protéger la foi de tous les Musulmans de telles déceptions. Amin.

Paix sur ceux qui suivent le vrai sentier.

Syed Abdul Hafeez Shah
Dr Syed Rashid Ali

 
 
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