Mouvement anti-Ahmadiyya en Islam
Décembre 2000
Le prétendu Ishq-e-Rasool (SAW)
de Mirza Ghulam A. Qadiani.
Ramadan 1420 Janvier 2000
Responsable : Syed Abdul Hafeez Editeur : Syed Rashid Ali
édition internet, texte
original en anglais traduit en français
Pour des années, les Qadiani ont voulu nous faire croire (à nous les Musulmans) que leur soi-disant prophète et fondateur du Mouvement Ahmadiyya, Mirza Ghulam A. Qadiani était ivre, annihilé de l’amour et de passion (Ishq) envers le Saint Prophète Muhammad (SAW), c’est-à-dire qu’il était un amoureux passionné (Aashiq-e-Rasool).
De cette façon, ils voulaient nous faire oublier ses vues hérétiques et ses écrits franchement blasphématoires sur le Prophète de l’Islam, comme ses écrits où il prétend être la réincarnation du Saint Prophète (SAW), etc.
M. Riyaz Ahmad Arshad, un Qadiani de Kotli Afghana, Distt et Tehsil Mandi Bahauddin, a récemment écrit :
«Mon chef (Mirza) était aussi annihilé par l’amour (Ishq) envers le Prophète (SAW). Ces mêmes sentiments sont ainsi exprimés dans sa poésie en urdu :Us nur pay fida hoon, us kaa hee main hoowa hoonet quand il exprime sa passion (Ishq) en persan , voici ce qu’il dit :
Woh hay, main cheese kya hoon, bus faisla yehi hayhust jam-e-ishq-e-oo Aab-e-Hayat la zawaalEt ses émotions sont toujours pleines d’amour passionné envers le Saint Prophète (SAW); il a exprimé son Ishq en arabe :
her keh nausheedust oo hurgiz na meerud bad azeenYa Aina Faiz Allah wal irfanAlors Dieu aussi dit de son Trône :
Yas'aa ilaika alkhalq...Pak Muhammad Mustafa Nabeeyon ka Sardar(Lettre de Riyaz Ahmad Arshad Qadiani marquée à la poste le 5 août 1995)
Bhaij durood too us mohsin per din mein saw saw baar .................................... ."
De même, Mirza Ghulam A. Qadiani avait écrit
dans ses autres poésies :
Après l’amour de Dieu, je suis intoxiqué par l’amour envers Muhammad.Vraiment très impressionnant! Ce sont là quelques exemples de poésie en urdu, en arabe et en persan écrite par Mirza Ghulam. Elle a embrouillé des générations de Qadianis dans la croyance qu’il était un véritable amoureux et un serviteur obéissant du Saint Prophète Muhammad (SAW) qu'il suivit à la perfection et ainsi il justifia ses prétentions à la prophétie, la seconde venue du Saint Prophète, et devint son zill et burooz.
Si cela est une hérésie, par Dieu, je suis le plus grand des hérétiques !Toutes mes veines et mes fibres sont saturées de l’amour de Muhammad.
En soi-même, mon cœur est vide, excepté qu’il garde l’affliction de mon Bien-Aimé (Muhammad).Tu as illuminé ma vie par ton amour. Que mon âme soit un sacrifice pour toi, O âme de Muhammad !
Mon feu est le feu de l’amour de Muhammad.
Et cette eau est l’eau claire et douce de (la fontaine de) Muhammad.Notre chef vient de Qui provient toute cette lumière (de vie spirituelle).
Son nom est Muhammad et c’est mon seul bien-aimé.Pour ton amour (O Muhammad) je me suis annihilé.
Pour ton amour j’ai jeté aux vents tout ce que j’avais.Mon âme s’accorde éternellement à l’âme de Muhammad.
J’ai entièrement bu la coupe de son amour.La Gloire de Dieu peut être vue dans l’excellence de ton caractère.
En entrant en contact avec toi (O Muhammad), Je suis éventuellement entré en contact avec l’Etre Divin.Ton amour a pris possession de chaque particule de mon existence.
Vois, voici la grande cité d’amour que j’ai bâtie dans mon cœur.Le polythéisme et les innovations nous répugnent.
Nous nous considérons nous-mêmes comme la poussière sur le chemin de Ahmad, l’Elu.Tu es celui dont l’amour a pris de profondes racines dans mon cœur
Tu es comme l’âme dans mon corps.(Poésie de Mirza Ghulam tirée de divers livres-Dur-e-Sameen etc).
"J’ai écrit à plusieurs reprises qu’en réalité notre Maître le Saint Prophète (SAW) est Khatam ul Anbiya et qu’après Lui il n’y a ni de prophétie permanente ni de Shariat. Et si quelqu’un prétend une telle chose, alors aucun doute, ce sera un mécréant et un maudit. Mais Dieu a voulu dire dès le commencement que pour exprimer et démontrer les différentes vertus, à cause de son émulation et de son imitation, quelqu'un serait accordé l’abondance de dialogue et d’adresses de Dieu, ce qu'il créerait dans sa personne une image miroir de prophétie, c’est ainsi que Dieu m’a nommé PROPHETE." (Roohani Khazain,vol.23p .340).Maintenant les lecteurs réaliseront comment ce mythe de l’amour de Mirza Ghulam envers le Prophète a dégénéré envers l'acceptance de toutes les autres prétentions hérétiques. En réponse à de telles prétentions du fondateur du Mouvement Ahmadiyya, Syed Abdul Hafeez Shah avait écrit à M. Riyaz Ahmad Arshad la réponse suivante, au sujet de l'Ishq-e-Rasool et du Fana fil Rasool."Mais je dis qu’après le Saint Prophète Muhammad (SAW) qui était réellement Khatam-un-Nabiyeen, être destiné comme Prophète et Messager n’est pas du tout inacceptable ni le sceau de finalité est rompu parce que je l’ai dit souvent que selon le verset 'wa aakhareen minhum lumma yalhaqoo behim', comme un prototype, je suis le même Prophète Khatan-ul-Anbiya, et 20 ans plus tôt dans Braheen Ahmadiyya, Dieu m’a nommé Muhammad et Ahmad et m’a désigné la personne du Saint Prophète (SAW). Ainsi, le Saint Prophète (SAW) étant le Khatam-ul-anbiya, n’a pas ébranlé ma prophétie... en tant qu’un Burooz (prototype), je suis le Saint Prophète (SAW) et comme un burooz, toutes les vertus et l’excellence de Muhammad, incluse la Prophétie de Muhammad, se sont reflétées dans l’ombre de mon miroir. Ainsi, qui est cette personne qui a prétendu la prophétie dans une existence séparée ? (Roohani Khazain, vol. 18 p. 212).
"Ceci est ma croyance qu’en 13 siècles, depuis Rasoolullah (SAW) à ce jour, une telle personne n’est passée dans la Communauté de Muhammad qui était un tel dévoué du Saint Prophète (SAW) et un soumis et un tel adepte, comme le Messie Promis (Mirza Ghulam)" Haqeeqat-e-Nabuwwat p. 5 par Mirza Mahmud, le 2nd Calife).
Mirza Basheer Ahmad, fils de Mirza Ghulam, écrit:
"Ainsi, aucune autre personne ne reçut le statut de la Prophétie dans la Communauté de Muhammad ... excepté le Messie Promis (Mirza). Personne ne suivit le Saint Prophète à une telle perfection pour être appelé l’Ombre du Saint Prophète. Par conséquent, seul le Messie Promis fut choisi pour être appelé le Prophète. (Kalimat Al-Fasl, Review of Religions, Qadian, p. 116. N° 3. vol. 14).
Cher M. Riyaz Ahmad Arshad,
Wa alaikum assalam.
Merci beaucoup pour votre lettre.
Votre attachement au Saint Prophète (SAW) et à
cet égard votre bonne foi en moi m’a donné de l’espoir que
si vous méditez sur ce Hadith, {vous ne serez pas croyant tant
que vous ne m’aimerez pas plus que votre père, plus que votre fils
et plus que toute l’humanité (Bukhari)} Insha Allah, un jour
vous arriverez à la vérité.
La poésie suivante est une parmi celles qui ont
été écrites pour l’éloge du Saint Prophète
Muhammad (SAW) exprimant pour Lui l’intense amour et la passion du poète.
Voyez donc comment les poètes ont admirablement exprimé leurs
pensées avec des mots charmants contenant des sens profonds :
Je suis sûr que vous conviendrez que ces poètes ont élégamment exprimé leur amour passionné (ishq) pour le Saint Prophète (SAW) de l’Islam beaucoup plus admirablement que ne l’a jamais fait votre Mirza Ghulam A. Qadiani.
La question est : Que signifie cette expression d’amour ? Vous seriez surpris d’entendre que ces poètes étaient des non-Musulmans et sont morts en tant que tels. Leur très belle poésie n’a pas pu les guider vers l’Islam. Parmi eux, il y avait : Munshi Durgasahaye, Suroor Jahanabadi, Rana Bhangwandas, Jagan Nath Azad, Kabeer Das, etc.
Vous avez habilement évité de répondre
à mes questions (concernant les écrits hérétiques
de Mirza Sahib) et vous avez essayé de prouver que Mirza Sahib était
Aashiq-e-Rasool et Fana fir Rasool, et à la fin, en disant "la plus
grande preuve est le Ishq et l’amour" vous avez essayé de justifier
ses prétentions de prophétie et de messie. Laissant de côté
ce que dit Mirza Sahib sur le critère de juger sa véracité
et son mensonge, parlons de votre propre critérium sur la véracité
de Mirza Sahib.
Ishq et Aashiqee, c’est quoi ?
Pour pouvoir comprendre ceci, vous devez comprendre certaines choses de base.
La connaissance et le manque de familiarité sont deux choses opposées. Quand on entend parler de quelqu’un au début, alors ce manque de familiarité se change en familiarité. Comme on ne cesse pas d’entendre parler de la bonté de cette personne, on développe un attachement pour lui, qui progresse vers l’affection et c’est le début de l’amour. Quand cet amour s’accroît, l’amant commence à ressentir comme si cet amour est en train de le consumer. Graduellement et insidieusement, le SHAWQ (le désir intense) pour le bien-aimé, prend corps dans le cœur de l’amant. Ce désir est à vrai dire un cadeau du bien-aimé : ce n’est pas quelque chose qu’on peut exécuter par ses efforts. Puis vient le temps où cet amour s’établit dans le cœur de l’amant et ce désir intense nourrit ce semis d’amour. Plus le bien-aimé est mystérieux, plus le shawq augmente et est peu à peu transformé en feu d’amour passionné, autrement connu comme ISHQ.
Cette position de Ishq est réservée uniquement pour ces âmes pieuses qui sont près d’Allah. La chaleur de Ishq les garde constamment sans repos. Les bontés d’Allah et Ses Bénédictions les intoxiquent peu à peu puis vient un temps où ils perdent la maîtrise d’eux-mêmes, ils passent au-delà du monde des sens. Leur Ishq progresse vers JUNOON (la lunacie), le feu de Ishq les brûle profondément. Maintenant, ils ne sont d’aucune utilité ni pour eux-mêmes ni pour les autres, pour ce monde ni pour l’Au-delà. Ils atteignent une phase où ils ne sont liés par aucune loi, ni par les lois de la Shariah ni par les lois du monde. De telles âmes choisies sont au-delà de la phase où elles ne peuvent apprendre quoi que ce soit à qui que ce soit.
Celle-ci est la position finale vers la voie du sulook et est nommée Fana fi Allah (Annihilé en Dieu). Pour atteindre ce degré, ont doit passer à travers les phases de fana fi as-Sheikh et fana fi Rasool. Ces deux phases sont juste des phases temporaires dans l’exercice de saalik. Le maître ou le murshid initialement produit son amour dans le cœur de son mureed (disciple) et lorsque celui-ci atteint le degré de fana fis Sheikh, le Sheikh l’envoie vers le Saint Prophète (SAW), afin qu’il puisse progresser vers le degré suivant. Si le Sheikh ne le fait pas et le laisse au degré de Fana fil Sheikh, alors le disciple devient un idolâtre et un infidèle.
En tout cas, la position de Fana fir Rasool et de Fana fil Allah sont absolument un acte de la grâce du Prophète Muhammad (SAW) et un don qu’Il a accordé sur Son serviteur. Chaque saalik (chercheur) ne cesse pas de marcher dans le chemin vers ce zénith de perfection, mais pas tout le monde atteint ce sommet. Ghaus, Qutub et Abdaal ont atteint le sommet et sont devenus les témoins du Saint Prophète Muhammad (SAW); de la connaissance sûre (Ilm-ul-Yaqeen), ils passent par la confirmation visuelle (Ain-ul-Yaqeen) à la position de la vérité sûre et évidente (Haqq-ul-Yaqeen). De tels gens choisis après «l'Odyssée vers Allah» (Sair ila Allah) et «l’Odyssée en Allah» (Sair fil Allah), atteignent un degré d’où on n’entend aucune nouvelle d’eux.
Mais ces âmes pieuses qui sont choisies par Allah
pour l’amélioration de Ses créatures, retournent de ce 'Sair
fil Allah' afin qu’elles puissent rester dans leurs sens, liés par
la Shariat du Saint Prophète Muhammad (SAW) pour guider l’humanité.
Un Prophète peut-il aussi être un Saalik (chercheur)?
Il est important ici de garder ce point à l’esprit que toutes ces positions sur le chemin vers Allah (Sulook) sont pour un saalik (un chercheur sur le chemin), et un Prophète ou un Messager d’Allah est Siraj-us-Salikeen (Lumière pour les chercheurs sur le chemin) et non un saalik. Il n’y a besoin ni pour le Prophète et Messager de passer par la phase de Fana fis Sheikh ni aucun Prophète n’a jamais annihilé dans l’amour d’un autre Prophète (Fana fir Rasool). Il y a des exemples de deux Prophètes étant présents en même temps, l’un étant supérieur à l’autre, comme évident depuis le Coran, mais il n’y a pas un seul exemple d’un Prophète inférieur étant annihilé dans l’amour d’un autre Prophète. Ex. : Seydna Abraham AS et son neveu Seydna Luth AS, Seydna Issa bin Maryam AS et Seydna Yahya AS, Seydna Mussa AS et Seydna Haroun AS, Seydna Yaqoub AS et Seydna Yussuf AS, et ainsi de suite.
De même, il n’y a pas besoin pour un Prophète de passer par la phase de Fana fi Allah. La gnose des Prophètes d’Allah est totalement différente de la gnose accomplie par Auliya Allah (les amis d’Allah). L’Odyssée de Rasoolulah (SAW) était entièrement différente de l’Odyssée vers Allah (Sair ila Allah) des amis d’Allah (Auliya Allah). Son voyage était avec son corps et son âme et le voyage des amis d'Allah était avec l'âme seulement. Par conséquent le meilleur poste possible de Auliya Allah est inférieur au plus bas niveau de Prophètes, parce que ce statut n'est pas réalisable, il est donné par Allah. Allah a choisi et désigné Ses Prophètes le jour de Azal (le commencement des créations). Non seulement Il a fait cela, mais aussi Il a pris le vœu de la part de tous les Prophètes d’être subordonnés au Saint Prophète Muhammad (SAW) comme mentionné dans le Qur’an :
Et lorsque Allah prit cet engagement des Prophètes, Il dit : « Chaque fois que Je vous accorderai un Livre et de la Sagesse, et qu’ensuite un messager vous viendra confirmer ce qui est avec vous, vous devrez croire en lui, et vous devrez lui porter secours. » Il leur dit : « Consentez-vous et acceptez-vous Mon pacte à cette condition ? » - « Nous consentons », dirent-ils. « Soyez-en donc témoins, dit Allah. Et Me voici, avec vous parmi les témoins. »Le Saint Prophète (SAW) dit : « J’étais Prophète même lorsque Adam était encore entre l’eau et l’argile. » C’est ce glorieux et magnifique Prophète dont le cœur pieux reçut de Allah une si grande endurance qu’il absorba l’impact comme l’écrasement d'une montagne du Son de Allah – ‘Le Qur’an’ - que personne d’autre ne pourrait porter. Ainsi dit Allah dans le Qur’an :
(Qur’an 3:81).
Dis : « Je suis en fait un être humain comme vous. Il m’ a été révélé que votre Dieu est un Dieu Unique… » (Qur’an 18 : 110).Et ceci créa un monde de différence entre le Prophète (SAW) et un être humain ordinaire.
Mais hélas ! Il y a des gens comme Mirza Ghulam A. Qadiani qui s’étaient toujours efforcés de noircir, de dénigrer la position du Saint Prophète. Regardez seulement cet exemple :
Quelle audace! Où est le rapport entre un Magnifique personnage du Saint Prophète (SAW) et quelqu’un comme Mirza Ghulam A. Qadiani qui ne pouvait même pas réciter ne fût-ce qu’un petit chapitre en prières sans avoir une attaque d’hystérie !!
Similairement, Mirza Sabih prétendit que l’Archange Gabriel (Djibril) n’est jamais venu sur terre. Djibril était l’Ange qui faisait parvenir les révélations aux Prophètes d’Allah. Puisque Mirza Sahib n’a en réalité jamais reçu de WAHI ou révélation, alors pour une fois il avait tout à fait raison que l’Ange Gabriel ne fut jamais sur terre pour lui.
La question vient à l’esprit : Qui était l’ange qui apportait à Mirza Sahib le soi-disant WAHI et quelle était la véritable nature de telles révélations ? Eel, Teechee, Teechee, Durshani, Khairaatee étaient les noms de certains de ces anges !!
Lisez Braheen-e-Ahmadiyya attentivement. Mirza cite souvent
les versets du Coran comme ses inspirations dans ce livre. Plus tard dans
ses autres livres, il fait référence à ces écrits,
disant : « et comme Dieu mentionne dans Braheen-e-Ahmadiyya… »,
comme si Braheen-e-Ahmadiyya était le livre de Dieu (Ma'azAllah).
On parle de l’altération dans les versets du Coran, ici, Mirza Sahib
a dérobé du Coran versets après versets.
Calomniant le Saint Prophète (SAW)
M. Riyaz ! vous parlez de l’amour et du Ishq de Rasoolullah (SAW) ; quel genre d’amant dépravé, impudent et dégénéré était Mirza de telle sorte qu’il se mit à appliquer à lui-même TOUS ces versets du Saint Coran que Allah a révélés à Son bien-aimé (Rasoolullah). Prenez Haqeeqat-ul-Wahi et, des pages 73-111 et 705-715, où Mirza Sahib a mentionné ses révélations (Wahi). Vous remarquerez le plagiat en gros des versets du Coran. Parmi eux, il y en a ceux qui étaient révélés pour rendre gloire au Saint Prophète (SAW) mais qui maintenant, selon Mirza Sahib, avaient encore été révélés pour le glorifier lui, Mirza !!!
Je suis sûr que tout musulman reconnaîtrait tout de suite ces versets du Saint Coran glorifiant le Saint Prophète de l’Islam. Mais Mirza Sahib se les est impudemment appliqués à lui-même.
Un autre exemple de blasphémie contre le Saint Prophète (SAW)
"La base de nos déclarations n’est pas le Hadith mais le Coran et cette révélation qui vient à moi. Oui, en appui, nous présentons aussi ces hadith qui sont conformes au Coran et QUI NE CONTREDISENT PAS MA REVELATION. LE RESTE DU HADITH, JE LE REJETTE COMME DU PAPIER GACHE."(Roohani Khazain vol. 19 p. 140)
Mirza Sahib avait aussi cette maladie qui faisait qu’il se considérait soit comme l’égal, soit comme meilleur aux autres Prophètes. Par conséquent dans sa tentative de se présenter comme meilleur au Saint Prophète Muhammad (SAW), il tricha d’abord les versets de glorification. Mais quand il n’en fut pas satisfait, il se mit à écrire de la poésie pour montrer sa supériorité vis-à-vis au Rasoolullah (SAW). Par exemple :
"Pour lui (le Saint Prophète), seulement le
signe de l’Eclipse lunaire apparut.
Et pour moi, l’Eclipse lunaire et solaire à
la fois. Maintenant vous me rejetez?"
(Roohani Khazain, vol. 19 p. 183).
Vous remarquerez que non seulement il a essayé de se prouver supérieur au Saint Prophète, mais aussi il nia le miracle de la Fission Lunaire et le désigna sous le nom de l’éclipse !
Dans un autre livre, Khutba-e-Ihamiyah, il désigna l’Islam du Saint Prophète Muhammad (SAW) comme Hilal (la nouvelle lune), mais son propre Islam comme Badr, la pleine lune.(Roohani Khazain vol 16 p. 184).La poésie qui suit était récitée devant Mirza par son adepte. Il est reporté que Mirza Sahib a dit : « Jazak Allah » et après avoir écrit le refrain suivant en une très belle calligraphie, l’avait suspendu dans sa maison :
« Muhammad est descendu de nouveau parmi nous
et il est dans sa gloire plus grand qu’avant.
Quiconque veut voir Muhammad en perfection
devrait regarder Ghulam Ahmad à Qadian ».
(Poésie de Qazi Zahoor Ahmad Akmal Qadiani,
publiée dans AlBadr Qadian, datée du
25 Octobre 1906
et Paigham-e-Sulh Qadian, datée du 14 Mars
1916).
Mirza dégrade encore le Saint Prophète
Muhammad (SAW) –
Fautes d’Interprétation (Ijthaadi):
Mirza Ghulam ne cessa pas de commettre erreur après erreur et ses prophéties ne cessèrent pas de se trouver être fausses les unes après les autres, et alors il commit cette bévue qui décida à jamais de son sort comme MECREANT (kaafir). Il commença à accuser d’autres Prophètes de Dieu et surtout le Saint Prophète Muhammad (SAW) d’avoir commis les mêmes fautes. C’était là le comble de ses attaques calomnieuses. Il écrivit à propos du Saint Prophète (SAW) que :
L'insulte finale
Le Tombeau du Saint Prophète (SAW) est une source de bénédictions et une lumière spirituelle pour la Communauté Musulmane entière. Il a été vénéré par des générations après générations depuis le temps des Sahaba jusqu’à ce jour. Aucun Musulman n’a jamais osé violer la sainteté de ce Saint des Saints lieux de pèlerinage. Mais ce soi-disant Aashqi-e-Rasool et Fana-fir-Rasool n'a même pas épargné ceci. (Puisse Allah me pardonner pour avoir cité de telles profanations) :
« Et Dieu choisit une telle place ignominieuse pour inhumer le Saint Prophète (SAW) laquelle est horriblement puante, obscure, très à l’étroit, et l’emplacement d’excrétion d’insectes… » (Roohani Khazain, vol. 17 p. 205)Ma'azAllah, summa ma'azAllah, est-ce cela que vous appelez l’Amour pour le Messager de Dieu?
Prophéties
Bien que vous ayez désigné l’Amour et la Passion comme étant une preuve de la véracité de Mirza Sahib, que j’ai encore montré ci-dessus être une perfide propagande, je demande de disconvenir que ceci n’est pas une preuve de ses déclarations de prophétie puisque c’est votre parole contre celle de votre Prophète et je suis sûr que vous conviendrez que ce sont ses paroles qui comptent. Ainsi, il dit :
«Pour juger notre véracité et nos mensonges, il ne peut y avoir de meilleur critère que nos PROPHETIES» (Aina-e-Kamalaat-e-Islam, Roohani Khazain vol. 5 p. 288)De même à un autre endroit, il dit:
« Celui qui est un MENTEUR dans sa déclaration, sa prophétie ne s’est jamais accomplie. » (Roohani Khazain, vol. 5 p. 223)«S’il est prouvé que parmi cent prophéties, même s’il s’en trouve une qui soit fausse, j’admettrai que je suis un menteur » (Roohani Khazain vol. 17 p. 421)
«Si Atham ne reçut pas de châtiment par la mort (comme prédit) avant la fin du temps stipulé, alors je m’apprête à accepter n’importe quel châtiment. Humiliez-moi, peignez ma face en noir, mettez une corde autour de mon cou et pendez-moi. Je me prépare pour n’importe quoi et je jure par Dieu Le Tout-Puissant qu’Il le fera certainement comme je l’ai dit, Il le fera certainement, certainement. Le ciel et la terre peuvent être remués mais Ses mots ne failliront pas." (Roohani Khazain vol. 6 p. 293)
Après de telles vantardes déclarations, maintenant laissez-moi vous demander le sort de quelques-unes de fameuses prophéties de Mirza Sahib, dont il s’est vanté précisément pour être un signe de sa véracité.
La Mélancolie, d’autres Maux 1, l’OPIUM 2 et l’Alcool 3
Alors la question est : quelle est la signification de ces inspirations, ces prophéties et ensuite ces manières calomnieuses ? Si vous étudiez la vie de Mirza Sahib avec un esprit ouvert, tous les faits deviendront clairs comme la lumière du jour. Mirza Sahib appartenait à une famille dont les membres étaient des serviteurs loyaux des Gouvernants Britanniques de l’Inde. Il était d’esprit faible dès la tendre enfance de sa vie et son père le décourageait à trop s’abandonner à la lecture des livres de peur de le voir perdre la raison. Quand il eut atteint sa maturité, il déguerpit avec la pension (Seeratul Mahdi part 1 p. 34) de son père et la dépensa en des occupations immorales. Plus tard, il occupa un emploi subalterne dans la Cour de Justice de la ville de Sialkot à raison de 15 roupies par mois. Là, il apprit un peu d’anglais, mais échoua à l’examen de Mukhtaari. En 1868, pendant qu’il travaillait encore comme clerc à la Cour, il rencontra un aumônier chrétien qui, plus tard, contribua à sa sélection au poste de "Prophète Apostolique".
Lorsque Mirza Saheb eut l’âge de 38 ans, son père mourut et les inspirations et les révélations commencèrent à se manifester à lui comme de la pluie. Etaient-ce des inspirations réelles ou un signe de maladie mentale ? Il subit la première attaque d’hystérie quand son fils Basheer I, mourut. Quand il entreprit un second mariage, il était IMPOTENT (Nuzool-e-Maseeh, Roohani Khazain vol. 18 p. 587 par Mirza Ghulam Ahmad). Alors sur inspiration divine, il prépara une potion «GUERISON DIVINE» son principal constituant était l’OPIUM. Durant sa correspondance avec Hakeem Nuruddin (Maktoobaat-e-Ahmadiyya vol. 5 lettre n° 4) il avoua souffrir des maux suivants. Vous devez ici vous rappeler que Mirza avait été initié à la Médecine par son père:
Et au sommet de tous ces maux, l’emploi de l’OPIUM et de l’ALCOOL !! En d’autres mots, MALADIE MENTALE + OPIUM = HALLUCINATIONS qu’il a mal interprétées comme des INSPIRATIONS / WAHI.
Peut-être pourriez-vous penser que les Messagers antérieurs étaient aussi accusés de cas d’état mental par leurs adversaires, ainsi ce n’est pas une grande affaire si nous appelons aussi Mirza Saheb de la même façon. Mais laissez-moi éclaircir la confusion : AUCUN PROPHETE de Dieu ne s’est jamais identifié lui-même comme malade mental, un lunatique. Mirza Ghulma Ahmad est le seul prétendant prophète qui avait avoué dans ses écrits étant mentalement malade.
C’était dans la suite de sa maladie mentale + l’Opium, que quand les Britanniques décidèrent de créer un Imposteur Prophète "Apostolique" (l’Arrivée de l’Empire Britannique en Inde - rapport de la Commission Parlementaire -, année 1870) qui pourrait être programmé et manipulé afin d’éliminer l’esprit du Jihad des cœurs des Musulmans, ils cherchèrent une personne apte. Ils choisirent le mentalement défectueux, qui use de l’opium et de l’alcool, un arriviste, fils de leur serviteur héréditaire, Mirza Ghulam Murtaza, qui avait prouvé sa loyauté en fournissant 50 cavaliers armés (Roohani Khazain vol.12 p.270) pour se battre contre les Musulmans dans la lutte pour la liberté de 1857 (Roohani Khazain vol. 12 p. 270).
Mirza Ghulam Qadiani Saheb accepta cette nomination dans sa lettre au Gouverneur Général d’alors du Punjab en déclarant qu’il est le « SEMIS AUTODIDACTE » du Raj Britannique (Roohani Khazain vol. 13 p. 350) et avait rendu tant de services qui n’avaient jamais été accomplis par aucun autre Musulman. Il écrivit une longue lettre à la Reine Victoria intitulée « DON A L’IMPERATRICE » dans laquelle il lui rappelait ses services, dans les mots qui suivent :
"Au bénéfice du Gouverneur Britannique, j’ai publié et distribué 50.000 dépliants (contre le Jihad) dans ce pays et dans d’autres pays Islamiques… Le résultat est que des centaines de milliers de gens ont abandonné leurs sales idées sur le Jihad." (Roohani Khazain vol. 15 p. 114).Et c’était la maladie mentale qui était aggravée par l’Opium et l’Alcool qui poussa Mirza Saheb à prétendre une chose après une autre. Il commença sa campagne comme un Serviteur de l’Islam et un Orateur. Ensuite, il progressa en s’appelant le Mujaddid (le Rajeunisseur), le Messie Promis (Ressemblance avec le Messie), et adopta même les titres de PROPHETE et de MESSAGER (Roohani Khazain vol. 3 p. 192 ; Roohani Khazain vol. 17 p. 295, Collection d’Annonces vol. 3 p. 435).
Alors, sa maladie le força à usurper les noms de TOUS LES PROPHETES (Roohani Khazain vol. 22 p. 521) : Adam, Seth, Nouh, Ibrahim, Isaac, Ismaël, Moïse, David, Salomon, Mariam, Issa ibn Mariam (Que la Paix d’Allah soit sur eux) (Roohani Khazain vol. 19 vol. pp. 87-89) et finalement il commença à s’appeler lui-même la seconde venue du Saint Prophète Muhammad (SAW) (Ek Ghalti Ka Izala, p.8; Roohani Khazain vol. 18 p. 212). Alors celui qui s’opposait à lui et n’acceptait pas sa prophétie était désigné comme un infernal, un bâtard et un enfant de prostituée (Roohani Khazain vol. 5 p. 547).
En dépit de toutes ces prétentions, il ne se donna aucun répit de sa maladie mentale. Alors il commença à avoir des visions soi-disant qu’il est la femme de Dieu et Dieu a exprimé Sa puissance de virilité avec lui (Astaghfir Allah). (Islami Qurbani, Tract n° 34 par Qazi Yar Mohammed Qadiani, imprimé par les Presses Riyaz Hind, Amratsir).
Finalement, il eut des inspirations qu’il est le fils de Dieu (Roohani Khazain vol. 22 p. 89 ; Tazkirah 2e Edition p. 142/626), Dieu Lui-même et Dieu naîtra en tant que son fils (Roohani Khazain vol. 13 p. 103).
Si vous réfléchissez honnêtement, vous réaliserez que toute cette jonglerie était le résultat de la maladie mentale de Mirza Saheb qui était en train d’affecter son ouïe et sa vue, aboutissant à des hallucinations respectivement auditoires et visuelles. Mirza Saheb était un homme malade; je m’étonne que des personnes instruites et intelligentes comme vous, en dépit de tout connaître, restent ignorants. Mirza Saheb avait vraiment coincé tous les Qadianis en déclarant que quiconque n'a pas lu tous ses livres au moins trois fois, sa foi est en doute. (Seerat-ul-Mahdi vol.2 p.78)
Je peux le dire sans l’ombre d’un doute qu’aucun Qadiani contemporain n’a lu tous ses livres trois fois. S’il l’a fait, cela aurait été assez pour lui ouvrir les yeux.
EN CONCLUSION, j’ai exposé le mythe de ISHQ-e-RASOOL dans lequel vous êtes pris au piège. Pour l’amour de Dieu, réfléchissez avec un esprit ouvert. Premièrement, AUCUN PROPHETE N’A JAMAIS ETE INTOXIQUE, ENIVRE DANS L’AMOUR D’UN AUTRE PROPHETE. Deuxièmement, CALOMNIE-T-ON JAMAIS SON BIEN-AIME ? On cherche les vertus et les qualités de son bien-aimé et non ses défauts.
Le critère pour juger l’état de prophète n’est ni l’amour/la passion ni les prophéties. C’est le message apporté par le prophète qui prouve sa véracité. S’il vous plaît, éclaircissez cette conception erronée dans votre esprit et ensuite lisez les livres de Mirza Saheb avec un cœur ouvert. Je prie Allah qu’Il puisse vous donner la perspicacité de différentier entre la vérité et le mensonge et alors vous guider dans le droit chemin. Ameen.
Parmi beaucoup, vous êtes le premier Qadiani à avoir écrit de telles lettres claires avec tant d’affection. Je ne veux pas que vous vous dédisiez et arrêtiez de m’écrire. Je vous serais reconnaissant si vous pouviez corriger toute fausse déclaration dans ma lettre, et accepter ce qui est la vérité.
Allah est le Seul qui donne la guidance.
Wassalam.
Syed Abdul Hafeez
P.O Gujjo, District Thatta
Sindh, Pakistan.
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